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Mis à jour: 14 juin 2025


Mais, en 1870, Médan n'était encore qu'un espoir, et Zola logeait et travaillait dans un modeste appartement batignollais.

Savez-vous quels étaient ces trois hommes? moi, M. Fouquet la Varenne, qui continuait sa route vers Médan, et enfin ... ah! ceci est le bon, le roi! Le Béarnais! s'écria Mme d'Entragues. Non, le roi, reprit M. d'Auvergne, le roi, qui a vu Mlle d'Entragues et sa jambe, le roi qui a poussé des hélas! d'admiration, et qui est amoureux fou de Mlle d'Entragues.

Avant d'avoir Médan, et depuis que l'aisance lui était venue, Zola avait l'habitude d'aller passer l'été

Médan, outre le séjour de Zola, appartient

M. Léon Hennique a grandi et s'est formé dans le naturalisme. Il est un des conteurs des Soirées de Médan, et ses premiers livres trahissent le souci du «document humain». Mais, par le tourment ingénieux du style et la curiosité fine de la pensée, il procède des Goncourt plutôt que de M. Zola. Il a, comme les deux frères, la vision colorée des temps évanouis, l'amour du rocaille et du rococo, le goût maladif du précieux et du rare. Comme eux, il met de l'apprêt et de la coquetterie dans la brutalité. Mais il est original et singulier par un certain don de rêve, par un certain sentiment de l'idéal, par je ne sais quoi d'héroïque et de fier. Ceux qui ont vu jouer son Duc d'Enghien au Théâtre Libre savent ce que M. Léon Hennique cache de nobles émotions sous l'enveloppe hérissée et contournée de sa forme littéraire. Le roman que je viens de lire, un Caractère, est certes une oeuvre peu commune. J'en pourrais dire beaucoup de mal. Je pourrais me plaindre amèrement d'un écrivain qui veut m'éblouir par les scintillements perpétuels d'un style

Il quitte les Batignolles, en 1877, et va demeurer rue de Boulogne. Enfin, il augmente sa villa de Médan, achetée en 1878, neuf mille francs, et occupe, durant son séjour

Sac au dos est peut-être le récit le plus vraiment triste des Soirées de Médan, celui qui implique la conception la plus méprisante des choses humaines. C'est la guerre vue dans les wagons de bestiaux et dans les salles puantes d'hôpital, une interminable enfilade de détails médiocres et misérablement douloureux. L'unité d'intérêt, est-elle? Dans les entrailles du héros (il ne s'agit point des «entrailles» prises au figuré). Sa préoccupation dominante est celle-ci: quand pourra-t-il se soulager dans un endroit propre? La bassesse excessive et paradoxale de la donnée, la vision très nette et un peu fiévreuse des détails infimes de la vie extérieure, un atroce sentiment de la platitude et de l'ennui de l'existence, un style brusque, inégal et violent, voil

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