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Mis à jour: 23 mai 2025
Le colonel regarda doucement Daniella. Tais-toi, petite engeôleuse: Tu me ferais croire que je t'aime. Je ne sais pas si vous m'aimez, mais moi je vous aime. M. Dieu soupira. Allons donc, vous m'aimeriez avec mes douze blessures mes quarante années, bien écrites sur a figure, et les années de campagne comptent double.
Je vous aime, belle maîtresse, reprit-il, mais vous ne m'aimez pas; l'ambition vous engagerait
Ne m'aimez pas encore, John, je vous en prie. Pas de longtemps. Lorsque j'étais triste
Je l'embrasse en l'inondant de mes larmes. Vous m'aimez donc encore? dit-il. Ah! ne m'est-il rien échappé? N'ai-je pas eu un long délire? Comment êtes-vous ici, vous, me dit-il d'un accent déchirant, vous, époux de Valérie? Cher Gustave! calmez-vous. Je sais tout; je vous plains, je vous aime, je donnerais ma vie pour vous. Alors, s'abandonnant
Vous m'aimez, monsieur, je vous crois. Vos paroles m'ont émue, et des paroles menteuses ne vont pas droit au coeur comme les vôtres ont été au mien! Vous avez souffert... Donc vous savez ce que c'est que la souffrance! Ayez pitié de la mienne!... Vous voyez, toute ma fierté tombe... Je deviens humble... Un mot de vous
Mais l'habitude a de puissants appas. Bien que l'Epoux obtînt mainte victoire, Qu'elle eût par fois quelqu'Amant dans ses bras, Toujours pleurant les beaux jours de sa gloire, Elle disoit, non, vous ne m'aimez pas.
Antoinette! dit-il en la pressant sur son coeur; Antoinette, vous m'aimez: il est inutile de le nier. Et penser qu'un tel trésor de bonheur est destiné
Jean saisit la main effilée de Fernande, et la couvrit de baisers: Oh! que ne puis-je vous peindre ce que je ressens, balbutia-t-il, au milieu du trouble profond où le jetait la réponse de la jeune fille. Vous m'aimez! vous m'aimez, Fernande! Jamais je n'aurais osé espérer un pareil bonheur!
Elle murmura: Vous ne m'aimez pas comme je vous aime! Ah! par exemple! ... Elle l'interrompit: Non, vous aimez en moi, comme vous le disiez fort bien avant dîner, une femme qui satisfait les besoins de votre coeur, une femme qui ne vous a jamais fait une peine et qui a mis un peu de bonheur dans votre vie. Cela, je le sais, je le sens.
Que serais-je devenue sans vous, sans votre bonne amitié et sans vos précieux conseils? Un pauvre être, misérable, solitaire et déshonoré aux yeux du monde! Puis, je sais aussi que vous m'aimez un peu, malgré votre froideur apparente et votre désintéressement. Saluez, etc., etc. De ..., le 7 février 1851.
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