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«En L vous voyez le pignon qui doit se joindre au comble de l’escalier, et n’oubliez pas qu’il faut incruster, le long des murs contre lesquels se tracent les couvertures en pénétration, des filets M en pierre, qui forment solins au-dessus de ces couvertures pour empêcher les eaux pluviales de passer entre l’ardoise et le mur. On fait le plus souvent ces solins en plâtre ou en mortier, sur la couverture même; mais celle-ci étant sujette

Les crochets passent dans l’intervalle laissé entre ces ardoises et viennent saisir chacune de leurs extrémités. En coupe, je vous montre en B, moitié d’exécution, le lattis C cloué sur les chevrons, et le crochet dont la pointe est enfoncée dans ce lattis, avec son retour E retenant la pince de l’ardoise. Cela va donc de soi pour les pans, mais non pour les retours, arêtiers ou noues. Quand on a des noues et des arêtiers, les ardoises n’étant pas flexibles, il faut employer du plomb ou du zinc; le premier de ces métaux vaut beaucoup mieux que l’autre et est moins sujet

=Chevron=. Pièce de bois de faible équarrissage sur laquelle est clouée la volige ou le lattis qui reçoit l’ardoise ou la tuile. Les chevrons sont espacés de 0m,50c au plus d’axe en axe, dans une bonne charpente de comble. Ils portent au pied sur des sablières ou sur des blochets, dans leur longueur, sur les pannes, et

«On pose vulgairement l’ardoise sur de la volige de sapin ou de bois blanc,

«Les faîtages des combles et des lucarnes seront de même établis en plomb et agrafés ainsi que vous l’indique le tracé P. On cloue d’abord deux languettes de plomb b, couvrant l’ardoise d, puis on roule les parties laissées libres de ces languettes avec des feuilles de plomb g, qui elles-mêmes viennent s’agrafer en h avec la lame i qui couvre le faîtage.