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Mis à jour: 27 juin 2025


Mon père! s'écria Loysik, mon père! vous ne tuerez pas ainsi cet homme... Je ne vous demande pas grâce de la vie, chiens d'esclaves! je saurai mourir; mais je ne veux pas aller en enfer, moi!

La communauté de Charolles est un grand bâtiment de pierres, solide, mais sans ornement; il contient, en outre des cellules des moines, les bâtiments de l'exploitation agricole, une chapelle, un hospice pour les malades de la vallée, une école pour les enfants. Ces frères laboureurs, depuis cinquante ans, ont toujours élu Loysik pour supérieur; ils sont, chose rare pour le temps, restés laïques, Loysik les ayant toujours engagés

Loysik! Ronan! suppliciés demain... non, non... ciel et terre! non!...

Oui... oui... tous, hommes, femmes, enfants, plutôt que de redevenir esclaves, nous saurons combattre ou mourir comme nos aïeux, Loysik! Et ce sanglant enseignement fera peut-être sortir les populations voisines de leur lâche torpeur... Mais, frère... frère... te voir partir seul... pour affronter un péril que je ne peux partager!...

La rivière, qui prenait sa source dans la vallée de Charolles, la traversait dans toute sa longueur; puis, se partageant en deux bras, servait de limites et de défense naturelle au territoire de la colonie. Par prudence, Loysik faisait ramener chaque soir et amarrer sur la rive de la vallée un bac, seul moyen de communication avec les terres qui s'étendaient de l'autre côté du cours d'eau, et appartenaient au diocèse de Châlons. Une logette veillaient

Il y a, Ronan, des hasards étranges; je me rappelle avoir lu dans ton récit que lorsque mon frère Karadeuk se fut introduit dans le burg du comte Neroweg, espérant te délivrer, toi et Loysik, ce Chram dit

Certes, Fulvie, je m'en souviens; et aussi de ces largesses que de leur butin les Vagres faisaient au pauvre monde. Loysik, c'est durant cette nuit-l

Je vous suivais de l'oeil, toi et Loysik, portés par nos Vagres criant: «Place! place

À peine Loysik avait-il prononcé ces paroles, que plusieurs familles, hommes, femmes, enfants, vieillards, sortirent du monastère, pleurant de joie. Ce fut, parmi les colons,

Sauve-toi, mon Vagre! je mourrai avec la douce pensée de ton amour... Oh! dites, Loysik, d'un pareil amour ai-je encore

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