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Cela ressemblait aux vieilles robes, aujourd'hui passées, que portaient nos grand'mères. Sur la cheminée, écrit avec une pointe dans le plâtre, était gravé un nom: Louisette. Je me souviendrai de tout cela longtemps, mon aimé. D'autres avaient aimé dans cette chambre, avant nous... D'autres y vivront maintenant.

Elle criait comme j'avais entendu une folle de quatre-vingts ans crier en s'arrachant les cheveux, un jour qu'elle croyait voir quelqu'un dans le ciel qui voulait la tuer! Le cri de cette folle m'était resté dans l'oreille, la voix de Louisette, folle de peur aussi, ressemblait

Il se tut un instant, l'air troublé par le souvenir de l'aventure tragique qu'elle évoquait. Et toi, tu crois ce que Louisette a raconté, tu crois qu'il a voulu l'avoir, et que c'est en se débattant qu'elle s'est blessée? Cessant de rire, brusquement violente, elle cria: Jamais Louisette n'a menti, ni Cabuche non plus... C'est mon ami, Cabuche. Ton amoureux peut-être,

Mon père m'ordonne de lâcher le fichu. «Non, je ne le donnerai pas! Jacquescrie mon père furieux. Je ne bouge pas. «JacquesEt il me tord les bras. Ils me volent ce bout de soie que j'avais de Louisette. «Il y a encore une saleté dans un coin que je vais faire disparaître aussi», dit ma mère. C'est le bouquet que me donna ma cousine. Elle l'a trouvé au fond d'un tiroir, en fouillant un jour.

Dans les derniers temps (ah! ce ne fut pas long, heureusement pour elle!) elle était blanche comme la cire; je vis bien qu'elle savait que toute petite encore elle allait mourir, son sourire avait l'air d'une grimace. Elle paraissait si vieille, Louisette, quand elle mourut

Ah! oui, Louisette... Mais, cher monsieur, c'était une petite vicieuse qui,

Morte, mon Dieu! répéta très bas Jacques, ma pauvre tante Phasie, et Flore, et Louisette!

Savez-vous de quel crime vous êtes accusé? Cabuche, la voix empâtée de colère impuissante, grogna: On ne me l'a pas dit, mais je m'en doute bien. On en a assez causé! Vous connaissiez monsieur Grandmorin? Oui, oui, je le connaissais, trop! Une fille Louisette, votre maîtresse, est entrée, comme femme de chambre, chez madame Bonnehon. Un sursaut de rage emporta le carrier.

Elle était restée chez une tante, au pays. La tante est morte, on a renvoyé l'enfant. Pauvre innocente, chère malheureuse! Mon coeur a reçu bien des blessures, j'ai versé bien des larmes! J'ai cru que j'allais mourir de tristesse plus d'une fois, mais jamais je n'ai eu devant l'amour, la défaite, la mort, des affres de douleur, comme au temps l'on tua Louisette devant moi.

Et puis Paulon, et puis le Pauvre, et Madeleine et Louisette, une vraie éclosion de fleurs d’avril, de fleurs de prés, fleurs annonciatrices du printemps félibréen qui me ravirent de plaisir et je m’écriai : Voil