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Mis à jour: 4 juin 2025


Et je te répète que tout y est.... Vois donc, dans l'hérédité directe, les élections: celle de la mère, Silvère, Lisa, Désirée, Jacques, Louiset, toi-même; celle du père, Sidonie, François, Gervaise, Octave, Jacques-Louis. Puis, ce sont les trois cas de mélange: par soudure, Ursule, Aristide, Anna, Victor; par dissémination, Maxime, Serge,

Nana tolérait tout, tremblante, caressante, avec la seule peur de ne plus le voir revenir, si elle lui adressait un reproche. Mais certains jours, quand elle n'avait ni madame Maloir, ni sa tante avec Louiset, elle s'ennuyait mortellement.

Elle regretta son histoire. Peut-être Louiset avait-il une nouvelle crise; et elle parla de retourner aux Batignolles. Mais, comme il offrait d'y aller aussi, elle n'insista pas. Un instant, elle eut la rage blanche d'une femme qui se sent prise et qui doit se montrer douce. Enfin, elle se résigna, elle résolut de gagner du temps; pourvu qu'elle se débarrassât du comte vers minuit, tout s'arrangerait

Nana, loin de se fâcher, eut un rire attendri, en disant que non, malheureusement; elle aurait bien voulu, pour le petit et pour elle; mais il en viendrait peut-être un tout de même. Fontan, qui faisait le bonhomme, prit Louiset dans ses bras, jouant, zézayant.

«... J'ai obéi (c'est Louiset qui parle). Je me suis assis près d'elle et je lui ai conté tout... Elle écoutait, presque recueillie... De temps en temps, elle pleurait... Elle me prenait les mains et me les serrait. Maintenant que je resonge

Et, ne sachant comment traduire la joie qui la bouleversait, elle empoigna et baisa Louiset qu'elle venait de trouver en l'air, sur l'épaule de Bordenave.

Ce fut seulement le mardi que Nana se remit des émotions de sa victoire. Elle causait le matin avec madame Lerat, venue pour lui donner des nouvelles de Louiset, que le grand air avait rendu malade. Toute une histoire qui occupait Paris, la passionnait.

Alors, madame Lerat retint la jeune femme dans la chambre, tandis que Louiset s'installait

Ainsi, je passerai vite sur les cent vingt premières pages de Mademoiselle Jaufre , nous sont contés (avec art, je le sais, et parfois avec poésie) l'idylle des amours enfantines de Louiset et de Camille dans le grand parc abandonné, puis le départ de Louiset, puis l'adolescence paresseuse, inerte, solitaire de la belle Camille chez son père le docteur Jaufre. Je passerai aussi sur des descriptions, faites cent fois, des moeurs de petite ville et sur les conversations des abonnés du cercle de Tonneins. Ce qui me désole, ce qui fait que je n'ouvre presque jamais sans ennui ni défiance les romans qui m'arrivent par paquets, c'est que je suis toujours sûr d'y trouver des parties entières que je connais d'avance, des développements qui peuvent être «de la bonne ouvrage», mais qui sont

Le soir des Rois, madame Lerat arriva la première avec Louiset. Comme Fontan n'était pas rentré, elle se permit d'exprimer des craintes, car elle tremblait de voir sa nièce renoncer

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insubmersible

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