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Mis à jour: 7 octobre 2025
A peine tous les prisonniers désarmés sont-ils fourrés dans la cale, que le capitaine du corsaire s'écrie: «Mes amis, ce n'est pas le tout; la corvette a voulu nous prendre, il faut la prendre elle-même! Sautez-moi en double dans les péniches, allez prendre une touline sur l'avant pour remorquer le lougre; coupons nos amarres, et gouvernons sur la corvette anglaise!»
Je me rappellerai toujours la farce du capitaine d'un beau lougre, arrivant avec une prise chargée de richesses: il commence, en débarquant
A propos, cher ami, c'était dans cette crique que Marcof avait jeté l'ancre hier soir, et le diable m'emporte si je vois l'ombre d'un lougre! En effet, la crique est vide. Il a donc mis
Puis, se retournant vers Yvon: N'y avait-il pas un lougre dans la crique hier au soir? demanda-t-il. Si fait, monseigneur. Qu'est-il devenu? Il a mis
Et son lougre? Il est près de Poenestin. Mène-moi près de Marcof, Fleur-de-Chêne! Tout
Cet ordre est aussi vite exécuté que l'intention du capitaine est comprise. Les péniches, nageant sur l'avant, halent le corsaire vers l'endroit où l'ennemi est mouillé. Au bout d'une demi-heure d'efforts, le lougre est amené le long de la corvette anglaise, qui croit voir dans le navire qui s'approche, l'ennemi que ses péniches sont parvenues
Dès que les pêcheurs de la côte eurent halé le lougre vers la terre, Bervic s'approcha de Marcof, et se penchant vers lui: Avez-vous remarqué que Keinec a une tache rouge entre les deux sourcils? demanda-t-il
Le petit lougre bondissait, emporté par le tourbillon; mais néanmoins il tenait ferme, et gouvernait bien. Presque
Trois personnages en effet gravissant un sentier taillé dans les flancs de la falaise, se dirigeaient vers les cavaliers. Ces trois personnages étaient le vieil Yvon, sa fille et Jahoua. Les promis et le père avaient voulu aller remercier Marcof, et n'avaient quitté Penmarckh que lorsque le lougre avait repris la mer. Puis, après être demeurés quelque temps
Je vais vous le dire, mon cher Boishardy. Lorsque je touchai terre, j'appris par les paysans que l'armée royaliste avait échoué devant Nantes et que Cathelineau était mort. On me dit que beaucoup de gens s'étaient débandés et erraient sans chef dans le pays, tombant chaque jour entre les mains des bleus. Je résolus de rallier ces hommes, et de les conduire sur l'autre rive de la Loire que je savais être en votre puissance. En conséquence, j'envoyai mon lougre
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