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C'est chose importante, Sir Charles, et ça doit rester entre vous et moi. Vous pouvez sortir, Lorimer... À présent, War, de quoi s'agit- il? Le boxeur s'assit fort tranquillement

Mon oncle me toucha l'épaule et nous allions partir, lorsque Ambroise, ayant remis le masque de bronze sur ses ardentes passions, s'approcha de lui avec respect. Je vous demande pardon, Sir Charles, mais je suis très choqué de voir votre cravate... Vous avez raison, Ambroise, Lorimer fait de son mieux, mais je n'ai jamais pu trouver quelqu'un qui vous remplace.

Nous allons vous laisser, Lorimer. Nous aurions peut-être des difficultés

Il a été, pour son propre compte et de son propre crû, un grand poète de chansons. Ses émotions et ses fantaisies lui ont fourni ses pièces les plus achevées. La chanson sur Mary Davidson, celles sur Mary Campbell, ou Jane Lorimer, et, dans un genre différent, son ode de Bruce, sont parmi les accents les plus passionnés et les plus fiers qui aient frémi sur les lèvres d'un poète. Elles comptent entre les perles de son génie. Mais,

L'histoire de la pauvre Jane Lorimer est lamentable. Quelques années après ce moment de splendeur, elle était rayonnante de beauté et fêtée dans les chansons du premier poète de son pays, son père fut ruiné. Son mari avait disparu. Elle fut obligée d'entrer dans une famille comme gouvernante. Elle vécut dans cette situation et d'autres analogues, pendant plusieurs années. Longtemps après, en 1816, elle apprit que son mari était

Il faut espérer que Gillespie garda ces vers pour lui. C'est peut-être pourquoi sa cour fut sans succès. Quelque temps après, au commencement de 1793, selon Chambers, Jane Lorimer fut courtisée par un jeune gentilhomme fermier des environs, nommé Whelpdale, qui lui déclara qu'il se livrerait sur lui-même

London, 1843. The Scottish Reformation, a Historical Sketch, by PETER LORIMER. Richard, Griffin and Co, London, 1860. Lectures on the History of the Church of Scotland, delivered in Edinburgh, in 1872, by ARTHUR PENRHYN STANLEY. D. D. Dean of Westminster. London, John Murray, 1879.

La liaison entre Jane Lorimer et le poète est difficile et délicate

Il semble que l'expression, curieusement séduisante, de Jane Lorimer était une pure beauté physique, une heureuse réussite des traits. La femme elle-même était une âme ordinaire, bonne, non sans un peu de fadeur, se laissant vivre avec nonchalance dans sa beauté. Elle était moins dirigée par ses propres mouvements que par une absence de résistance, une sorte d'indifférence et de laisser-aller. Par faiblesse plutôt que par amour, elle avait suivi Whelpdale; quand il l'eut abandonnée, elle n'eut pas la force de le haïr. Elle ne paraît pas prendre grande part aux sentiments qu'elle inspire, se laissant aimer plutôt qu'aimant, enveloppée d'un attrait inconscient, qui est le fait de son corps plutôt que d'un désir ou d'un effort de son esprit. «Sa légèreté était au moins égale

[Note 33: Les opinions d'Aristote sur cette question ont été examinées et approfondies par M. James Lorimer, le savant professeur de droit public et de législation internationale