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Mis à jour: 24 juin 2025
Z..., médecin, de constitution névropathique, réagissant faiblement contre l'alcool, pratiquant le coït normal dans les circonstances ordinaires, sentait, aussitôt qu'il avait bu du vin, que le simple coït ne satisfaisait plus son libido augmenté par cette boisson.
Ce phénomène morbide de la vie sexuelle peut être le précurseur de la démence sénile et se présente longtemps avant qu'il existe des faits manifestes de faiblesse intellectuelle. L'observateur attentif et expérimenté pourra toujours démontrer, même dans cette phase prodromique, un changement de caractère in pejus et un affaiblissement du sens moral qui va de pair avec cet étrange réveil sexuel. Le libido de l'homme qui est sur le point de tomber en démence sénile, se manifeste au début par des paroles et des gestes lascifs. Les enfants sont les premiers attaqués par ces vieillards cyniques, qui sont en train de verser dans l'atrophie cérébrale, et dans la dégénérescence psychique. Les occasions plus faciles d'aborder les enfants, et aussi la conscience d'une puissance défectueuse, peuvent expliquer ce fait attristant; une puissance génésique défectueuse et un sens moral très abaissé expliquent encore pourquoi les actes sexuels de ces vieillards sont toujours pervers. Ce sont des équivalents de l'acte physiologique dont ils ne sont plus capables. Comme tels, les annales de la médecine légale enregistrent l'exhibition des parties génitales (voir Lasègue: Les exhibitionnistes. Union médicale, 1871, 1er mai), l'attouchement voluptueux des parties génitales des enfants (Legrand du Saulle, La folie devant les tribunaux, p. 30), l'excitation des enfants
W..., trente-trois ans, vigoureux, bien portant, avec des parties génitales normales, n'a jamais éprouvé de libido et a en vain essayé d'éveiller son sens sexuel absent par des lectures obscènes et des relations avec des mérétrices.
Toutefois, il coïtait encore souvent, contracta une gonorrhée, après la guérison de laquelle il éprouva une aversion de plus en plus vive pour le sexe féminin; il pratiqua dorénavant le coït de plus en plus rarement et seulement dans les cas où, malgré son libido très vif, il ne pouvait avoir des rapports avec des individus masculins.
X..., vingt-sept ans, avec des parties génitales normales, n'a jamais éprouvé de libido. L'érection ne peut avoir lieu par des excitations mécaniques ni par la chaleur; mais, au lieu du libido, il se produit alors chez lui un penchant aux excès alcooliques. Par contre, ces derniers provoquaient des érections spontanées et, dans ces moments, il se masturbait parfois.
Le status præsens a montré les symptômes ordinaires de la neurasthénie. La taille, l'attitude et le vêtement ne présentaient rien d'étrange. Le massage électrique eut un succès extraordinaire. Au bout de quelques séances, le malade était très ragaillardi au physique et au moral. Après vingt séances, le libido s'est réveillé de nouveau, non dans le sens qu'il avait jusqu'ici, mais avec une tendance normale, la même que le malade eut jusqu'
Mme O..., d'une constitution normale, bien portante, bien réglée, âgée de trente-cinq ans, mariée depuis quinze ans, n'a jamais éprouvé de libido, et n'a jamais ressenti de sensation érotique dans le commerce sexuel avec son mari. Elle n'avait pas d'aversion pour le coït, et il paraît que parfois elle le trouvait agréable, mais elle n'avait jamais le désir de répéter la cohabitation.
Il est bien établi qu'il faisait déshabiller ces journaliers, qu'il leur suçait ensuite l'orteil, et que, par ce procédé, il réveillait son libido qu'il satisfaisait ensuite.
Les conditions héréditaires n'exercent pas une influence moins grande sur le libido et la puissance virile. Il y a des familles où,
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