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Mis à jour: 24 juin 2025
Je vis Leybach que j'avais traversée sans la voir, et où l'on s'occupait aussi peu de l'irruption allemande que si la ville avait été couverte par cent mille hommes. Il y avait tant de prestiges dans le gouvernement de Napoléon, que sa ruine est encore un problème pour moi. Le seul bruit de son nom faisait l'effet d'une armée, et les régimens autrichiens ne rentraient pas sans inquiétude dans leurs villes autrichiennes quand nous les avions occupées; ils paraissaient craindre qu'il n'y restât quelque chose de notre puissance et que ces murs abandonnés ne s'écroulassent sur eux. Cette espèce de superstition était fortifiée par l'insouciance crédule des Français, qui faisaient depuis douze ans des opinions dans les bulletins, et qui prenaient au pied de la lettre les gasconnades un peu usées des journaux. Il y avait
Il n'y avait plus moyen de traverser l'Autriche, dès lors soulevée contre nos armes. Je fus obligée de reprendre la route de Leybach,
Tout s'écroulait quand je quittai Leybach, le lendemain du bal, et personne ne le savait que l'homme inconcevable par qui ce bal avait été donné. Le dernier serrement de main du gentilhomme esclavon et du voyageur français fut un adieu éternel.
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