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Mis à jour: 25 juin 2025
Alors on était au printemps... Quand je levais la tête, je voyais le ciel tout bleu et les grands arbres de la cour déj
Quand j'avais fini de dormir, attiré par le ciel ensoleillé, mais retenu par la fraîcheur de ces derniers matins si lumineux et si froids où commence l'hiver, pour regarder les arbres où les feuilles n'étaient plus indiquées que par une ou deux touches d'or ou de rose qui semblaient être restées en l'air, dans une trame invisible, je levais la tête et tendais le cou tout en gardant le corps
Néanmoins, l'affection du chat pour moi paraissait s'accroître en raison de mon aversion contre lui. Il suivait mes pas avec une opiniâtreté qu'il serait difficile de faire comprendre au lecteur. Chaque fois que je m'asseyais, il se blottissait sous ma chaise, ou il sautait sur mes genoux, me couvrant de ses affreuses caresses. Si je me levais pour marcher, il se fourrait dans mes jambes, et me jetait presque par terre, ou bien, enfonçant ses griffes longues et aiguës dans mes habits, grimpait de cette manière jusqu'
À partir de ce jour, elle fut avec moi une diablesse incarnée. Fantasque autant que trois troupeaux de chèvres capricantes, plus que nuée changeante, un jour elle me dardait un mépris insultant, ou bien elle m’ignorait; un autre, m’arquebusait de regards langoureux, de rires enjôleurs; cachée derrière un arbre, me visait sournoisement avec une motte de terre s’écrasant sur ma nuque quand j’avais le dos tourné, ou pan sur le pif! avec un noyau de prune, lorsque je levais le nez. Et puis,
Depuis ce jour on fut bien plus sévère pour moi; on voulut m'enfermer, mais j'avais trouvé moyen d'ouvrir toutes les barrières avec mes dents; si c'était un loquet, je le levais; si c'était un bouton, je le tournais; si c'était un verrou, je le poussais. J'entrais partout, je sortais de partout. Le fermier jurait, grondait, me battait: il devenait méchant pour moi, et moi, je l'étais de plus en plus pour lui. Je me sentais malheureux par ma faute; je comparais ma vie misérable avec celle que je menais autrefois chez ces mêmes maîtres; mais, au lieu de me corriger, je devenais de plus en plus entêté et méchant. Un jour, j'entrai dans le potager, je mangeai toute la salade; un autre jour, je jetai par terre son petit garçon, qui m'avait dénoncé; une autre fois, je bus un baquet de crème qu'on avait mis dehors pour battre du beurre. J'écrasais leurs poulets, leurs petits dindons, je mordais leurs cochons; enfin je devins si méchant, que la maîtresse demanda
Je vous remercie, lui dis-je, mais on est bien petit près de son souverain; je l'écoutais, je ne levais pas les yeux sur lui; il m'aurait intimidé; je ne voyais que son cheval.»
Je ne veux pas, vous dis-je; je me levais quand vous êtes venu. Mais, qu'as-tu donc? je ne te reconnais plus: tu me dis «vous,» comme
Certaines fois, je me levais, l'esprit plein de cette noble poésie. Je promenais mes regards sur la pente fleurie de la campagne, que bornaient le miroitement de la mer et le contour pourpre de l'
»Je m'étendis sur un sofa, et j'attendis avec angoisses. A l'instant où je me levais pour aller
Je déjeunai précipitamment et sans appétit, après quoi je me levais de table, en disant avec une sorte de gaieté forcée: «Allons, je suppose qu'il est l'heure de partir.» Alors j'embrassai ma soeur, qui riait en agitant la tête dans son fauteuil comme d'habitude; j'embrassai Biddy, et je jetai mes bras autour du cou de Joe. Je pris ensuite mon petit portemanteau et je partis.
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