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Mis à jour: 21 juin 2025


Le maréchal Soult envoya le général Guyot, avec sa cavalerie légère, s'emparer de Gustadt, il prit une grande partie du bagage de l'ennemi, et fit successivement seize cents prisonniers russes. Gustadt était son centre des dépôts. Mais au même moment le maréchal Soult se portait sur le pont de Bergfried avec les divisions Leval et Legrand. L'ennemi, qui sentait que cette position importante protégeait la retraite de son flanc gauche, défendait ce pont avec douze de ses meilleurs bataillons. À trois heures après midi, la canonnade s'engagea. Le quatrième régiment de ligne et le vingt-quatrième d'infanterie légère, eurent la gloire d'aborder les premiers l'ennemi. Ils soutinrent leur vieille réputation. Ces deux régimens seuls et un bataillon du vingt-huitième en réserve, suffirent pour débusquer l'ennemi, passèrent au pas de charge le pont, enfoncèrent les douze bataillons russes, prirent quatre pièces de canon, et couvrirent le champ de bataille de morts et de blessés. Le quarante-sixième et le cinquante-cinquième, qui formaient la seconde brigade, étaient derrière, impatiens de se déployer; mais déj

Legrand ne peut résister au coup qui nous frappe et il demande

Causer? Elle cause peu; on dirait même qu'elle redoute de montrer sa maison aux voyageurs, et qu'elle craint qu'on n'y découvre un mystère comme dans une pièce que Legrand m'a racontée: on versait du plomb fondu dans l'oreille des gens quand ils étaient couchés, puis on les coupait en morceaux, et on les donnait

Nouvelle démarche des camarades pour arrêter le combat. Non! Je trouve que Legrand a tiré trop bien, et moi trop mal. Je trouve qu'après avoir passé tant de temps dans les champs, s'en aller sans qu'il y ait un résultat, c'est prêter

Je n'essayerai pas de décrire les sentiments avec lesquels je contemplais ce trésor. La stupéfaction, comme on peut le supposer, dominait tous les autres. Legrand paraissait épuisé par son excitation même, et ne prononça que quelques paroles. Quant

Ils sont couchés, Legrand est encore vivant; mais Dieu seul qui voit sa tête par la tabatière Dieu seul sait ce qu'il a souffert! Il me confie ses angoisses. «Les heures étaient des siècles, vois-tuC'était mon tour d'être de lit, mais je me suis mis d'escalier pour être réveillé de bonne heure par la bonne qui nous gratte toujours les pieds en descendant. 6 heures du matin.

Parole d'honneur, je cherche entre les lignes s'il n'y a pas trace de ma promenade si inondée de soleil, de joie intime, d'insouciance robuste et de confiance en moi! C'est Legrand qui paraît le premier, mais Legrand méconnaissable.

C'était Nodier qui avait fait revivre la reliure, qui, sous la Révolution et l'Empire, cessa d'être un art; c'est lui qui encouragea, qui dirigea les restaurateurs de cet art, le Thouvenin, les Bradel, les Niedrée, les Bozonnet et les Legrand. Thouvenin, mourant de la poitrine, se levait de son lit d'agonie pour jeter un dernier coup d'oeil aux reliures qu'il faisait pour Nodier.

M. Legrand ne répondit point; deux hommes placés devant lui, lui dérobaient entièrement la vue du bal. Il était furieux; il se sentait si petit, si tristement perdu dans la foule! Vous arrivez? poursuivit la mère en turban; vous n'avez pas encore vu le phénix dont chacun s'entretient ici?

Il allait aussi dans la classe de spéciales ou d'élémentaires, il n'y avait jamais que sept ou huit élèves qui travaillaient en famille avec le professeur; on laissait Legrand se mettre comme un vieux près du poêle. J'avais conçu une grande admiration pour lui.

Mot du Jour

l'égaierait

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