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Mis à jour: 13 juin 2025
Il y a des détails très-heureux dans le premier tableau ou figurent les Péris, et surtout dans le premier pas de Léila avec Achmet. Cela fait, l'auteur se repose, et son imagination semble complètement épuisée. Le pas de quatre, le pas de trois du second acte ont paru plus que vulgaires. Le pas de l'abeille. dont on attendait tant d'effet, n'en a produit aucun. Ce pas était très-difficile
Excusez-moi, charmante Léila, mais vous concluez fort mal. S'il aime l'esclave, il sera infidèle
Mais quel fut son étonnement lorsqu'il vit la figure de Leila s'illuminer, l'escarboucle magique s'allumer sur son front, et des ailes, semées d'yeux de paon, se développer sur ses charmantes épaules! Leila était une péri!
Il s'enflamme d'un tel amour pour cette nouvelle venue, qu'il en oublie complètement la Péri, et qu'il sacrifie pour elle son repos, sa fortune, sa vie même. Voici comment. Léila a pris la forme extérieure d'une esclave qui s'est échappée du harem du pacha. Le pacha la réclame. Achmet la refuse, et la cache si bien qu'on ne peut la trouver. On arrête Achmet et on le met en prison.
L'alarme de la censure, était si grande, que M. Théophile Gautier, l'auteur du ballet, crut prudent de capituler; donc, le premier jour, l'affiche annonça le ballet sous ce titre: Léila ou les péris.
Leila s'ingéniait
Don Juan, après avoir promené son adolescence et sa jeunesse en Espagne et en Orient, au milieu des aventures les plus poétiques, s'échappe du sérail, se rend au camp des Russes et assiste au siège d'Ismail. A ce siège, si admirablement peint par le grand poète, Juan sauve de la mort une jeune fille de dix ans; c'est Leila, qu'il n'abandonnera plus désormais, et qu'il emmène avec lui en Russie, où le général Souwarow l'envoie donner
»J'ai vu *, elle m'a paru jolie; mais d'un autre genre de beauté que les deux autres. Elle a les plus beaux yeux du monde, avec lesquels elle prétend n'y pas voir, et les plus longs cils que j'aie jamais vus depuis ceux de Leila, et les rideaux de la lumière de la musulmane Phannio. Elle est très-belle... assez belle, mais je la crois méchante...
Mahmoud-Ben-Ahmed était fort compatissant de sa nature, comme tous les gens qui ont étudié les lettres et la poésie. Leila, tel était le nom de l'esclave fugitive, s'exprimait en termes choisis; elle était jeune, belle, et n'eût-elle été rien de tout cela, l'humanité eût défendu de la renvoyer. Mahmoud-Ben-Ahmed montra
Ce serait vainement que j'essaierais de décrire le charme de l'œil noir de Leïla; regardez ceux de la gazelle, ils aideront admirablement votre imagination.
Mot du Jour
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