United States or Liberia ? Vote for the TOP Country of the Week !


«Ou les gens de bien manquent ici, ou tu ne suis pas l'exemple des gens de bien: ce métier, dont tu parles, c'est ce que les sages nomment le crime. Bientôt Lankâ, couverte par des masses de pierreries, Lankâ, pour la faute de toi seul, va périr, malheureuse de ce qu'elle eut pour maître un insensé.

«J'ai rompu ces défilés, comblé ces fossés, incendié toute la cité et fendu les remparts du côté nous traversons l'empire de Varouna. Songe que la ville de Lankâ est déj

Le fils du Vent les salua, ses mains en coupe, et se mit en chemin. Le héros Hanoûmat, qui voyageait par la cinquième voie , passa donc intrépidement au-dessus de Lankâ.

Les Rakshasas, échappés au carnage, de courir sans jeter un seul regard derrière eux, comme des gazelles épouvantées qu'un tigre chasse devant lui. Le grand singe avec sa queue toute en flammes se promena dans Lankâ sur les toits des palais, tel qu'un nuage d'où jaillissent les éclairs.

«Quand Hanoûmat, envoyé par toi, s'est montré la première fois dans Lankâ, j'étais captive, pourquoi, héros, ne m'as-tu pas rejetée dès ce moment? Aussitôt cette parole, vaillant guerrier, abandonnée par toi, j'eusse abandonné la vie

«Certes! mon bras fût-il seul, peut facilement détruire Lankâ, ses éléphants, ses chars et ses coursiers; mais ce n'est pas l

Entrés dans la ville de Lankâ, les noctivagues, reste échappé de l'armée détruite, s'en vont, éperdus, consternés, la cuirasse déchirée, le corps accablé de fatigue, au palais de Râvana et lui annoncent que le Râvanide a succombé dans la bataille sous le fer de Lakshmana.

À la vue de leur chef renversé, les noctivagues échappés au carnage de rentrer dans Lankâ, tremblants et battus par les singes. Tout bouleversé, les genoux brisés, la poitrine et les cuisses rompues, les yeux rouges de sang, la tête pendante, vomissant de la bouche un sang épais, Dhoûmrâksha tomba par terre, sa connaissance éteinte.

«Je t'ai donné Lankâ pour ton royaume, Vibhîshana aux longs bras. Les habitants du ciel, Indra même avec eux, ne t'y vaincront jamais, souverain des Rakshasas, ô toi, le plus fidèle aux devoirs du kshatrya. Je retourne dans Ayodhyâ au palais de mon père; je vous demande la permission de partir et je vous fais

Quand le monarque des Rakshasas vit le désastre épouvantable et glaçant de terreur dont le magnanime Hanoûmat, tel que s'il était Indra même, avait frappé sa ville de Lankâ, il dit, ses yeux rouges de fureur et sa tête légèrement inclinée par la colère,