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Mis à jour: 6 juin 2025


12 septembre. À cinq heures du matin, nous sommes arrivés derrière Landrecies. La tête de colonne a commencé l'attaque derrière la ville, sur la route du Quesnoy. Feu vif de notre part, mais l'ennemi a très bien répondu dans la forêt de Mormal il était retranché. Cependant leurs premiers retranchements ont été enlevés, mais les abattis de gros arbres nous ont empêchés d'aller plus avant. Notre bataillon est entré dans la forêt

Reprise des opérations militaires. Reddition de Condé, Valenciennes, Landrecies et le Quesnoy. Découragement des coalisés. Bataille de l'Ourthe et de la Roër. Passage de la Meuse. Occupation de toute la ligne du Rhin. Situation des armées aux Alpes et aux Pyrénées. Succès des Français sur tous les points.

Charles-Quint assiège Landreçies. François Ier qui fait ravitailler la ville, conduit

Le 29 septembre, le prince de Cobourg força le passage de la rivière par six colonnes, investit Maubeuge, et porta son armée d'observation sur Avesnes et Landrecies.

Pendant ce temps, Cobourg avait pris Landrecies. N'attachant pas une assez grande importance

Prendre Landrecies quand on avait Valenciennes, Condé et le Quesnoy, était un soin puéril; couvrir ses communications vers la Sambre était fort sage; mais placer un corps pour garder la Flandre était fort inutile, quand il s'agissait de former une masse puissante d'invasion: amener les Prussiens sur la Sambre était fort douteux, comme nous le verrons; enfin, la diversion dans la Vendée était depuis un an devenue impossible, car la grande Vendée avait péri. On va voir, par la comparaison du projet avec l'événement, la vanité de ces plans écrits

Les mouvemens commencèrent vers les derniers jours de germinal (mars). La masse ennemie, après avoir repoussé les divisions françaises disséminées devant elle, s'établit autour de Landrecies; le duc d'York fut placé en observation vers Cambray; Cobourg vers Guise. Par le mouvement que venaient de faire les coalisés, les divisions françaises du centre, ramenées en arrière, se trouvaient séparées des divisions de Maubeuge, qui formaient l'aile droite. Le 2 floréal (21 avril), un effort fut tenté pour se rattacher

L'activité des opérations militaires s'était un peu ralentie vers le milieu de la saison. Nos deux grandes armées du Nord et de Sambre-et-Meuse, entrées dans Bruxelles en thermidor (juillet), puis acheminées l'une sur Anvers, l'autre sur la Meuse, étaient demeurées dans un long repos, attendant la reprise des places de Landrecies, Le Quesnoy, Valenciennes et Condé, perdues dans la précédente campagne. Sur le Rhin, le général Michaud était occupé

Villars proclama bien haut son intention de forcer les lignes de Landrecies. Une nuit,

Or la colonne rejoignit Héricourt. Encore fébriles, les dragons retroussaient leurs manches sur les poignets humides. Les narines reniflaient l'air. Les yeux s'agitaient entre les paupières enflammées. Arrangeant les courroies des manteaux, déboutonnant leurs plastrons rouges et leurs gilets blancs, ils parlaient rauque, s'essoufflaient. Plusieurs fourreaux de cuir s'étant cassés, lors du choc, les sabres nus pendaient par la dragonne au bout de leurs gestes vifs. Pied-de-Jacinthe, ne put contenir leurs paroles. «Pardieu, assurait Tréheuc, je le jurerais au Pardon, les mèches blanches du vieux flamboyaient comme nuit devant l'autel. Et grand! Deux toises et demie! Huit coudées! Tu as mesuré son sabre. Pouvait-on voir quand il fit le moulinet; ce fut un ciel de foudre qui baissa sur nous! Et sa bouche. Tu as vu l'incendie dedans! Une fournaise comme lorsque Landrecies brûlait. Tous les autres semblaient être seulement la queue de son cheval! Y en avait-il d'autres? Qui pourrait le dire? Ils étaient cent; imbéciles! cria Pitouët. Cent? Ah l

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