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Mis à jour: 14 mai 2025


Les chambres portent un nom d'arbre ou un nom de personnage politique. Il y a le chêne, l'érable, le pin; il y a aussi la chambre de la Reine, ainsi désignée parce que la reine Victoria y a couché, la chambre de Cromwell, de Wellington, de Beaconsfield.

J'attendrirais plutôt le chêne ou bien l'érable Au coeur dur, le rocher par Sisyphe roulé, L'enclume de Vulcain, le fils de Sémélé, Hercule, que la Nymphe aux yeux de violette Qui bondit en chantant sur les flancs de l'Hymette! Rester vierge est mon lot... pour apaiser ma faim Allons chercher des fruits, de la crème et du pain. Il sort tristement. ALECTON entre joyeusement.

C'est l'érable, Madame, avait, répondu le jeune homme. Il est l'orgueil de nos forêts... La feuille d'érable est sacrée, chez nous... L'automne, elle se pare de mille couleurs avant, de mourir... La neige la recouvre, mais elle est toujours vivante dans nos coeurs... Maple leaf for ever, disent vos frères les Anglais, remarqua la jeune fille. Oui, Mademoiselle, le Canada toujours!...

Nous ne parlons pas ici des autres végétaux qui contiennent en eux le principe saccharin, et pourraient facilement être convertis en sucre, tels que le mais, le melon, la citrouille. Nous ne dirons rien non plus du sucre de l'érable. Nous nous contenterons de quelques mots sur le sucre de pomme de terre ou de fécule, dont la fabrication a pris depuis quelque temps une extension considérable pour que l'on évalue de 4

Buguet passa la main sur l'écorce fine et jaspée. Il meurt malheureusement par la cime, continua-t-il. C'est dommage. Il faudrait le rabattre. Le châtelain, qui n'avait pas encore ouvert la bouche, arma son arquebuse et, tirant sur l'érable, fracassa une branche.

Et du fond de leur nid, sous l'orme et sous l'érable, Les oiseaux admiraient sa tête vénérable, Et, gais chanteurs tremblants, Ils guettaient, s'approchaient, et souhaitaient dans l'ombre D'avoir, pour augmenter la douceur du nid sombre, Un de ses cheveux blancs!

Septembre 1841. Lion! j'étais pensif, ô bête prisonnière, Devant la majesté de ta grave crinière; Du plafond de ta cage elle faisait un dais. Nous songions tous les deux, et tu me regardais. Ton regard était beau, lion. Nous autres hommes, Le peu que nous faisons et le rien que nous sommes, Emplit notre pensée, et dans nos regards vains Brillent nos plans chétifs que nous croyons divins, Nos voeux, nos passions que notre orgueil encense, Et notre petitesse, ivre de sa puissance; Et, bouffis d'ignorance ou gonflés de venin, Notre prunelle éclate et dit: Je suis ce nain! Nous avons dans nos yeux notre moi misérable. Mais la bête qui vit sous le chêne et l'érable, Qui paît le thym, ou fuit dans les halliers profonds, Qui dans les champs, nous, hommes, nous étouffons, Respire, solitaire, avec l'astre et la rose, L'être sauvage, obscur et tranquille qui cause Avec la roche énorme et les petites fleurs, Qui, parmi les vallons et les sources en pleurs, Plonge son mufle roux aux herbes non foulées, La brute qui rugit sous les nuits constellées, Qui rêve et dont les pas fauves et familiers De l'antre formidable ébranlent les piliers, Et qui se sent

Moi, cependant, caché par la vigne et l'érable, Je regardais, muet, la scène d'Orient, L'ombre que ce beau groupe allongeait sur le sable, Ton visage confus, le vieillard souriant; Il te donna, pour prix de ta cruche d'eau pure, Un chapelet de grains colorés de carmin, Une croix de laiton, qui battait sa ceinture; Et toi, courbant ton cou sous sa manche de bure, Tu plias les genoux et tu baisas sa main.

« Quand on veut faire monter l'érable en arbre, on lui retire les noeuds, ou en grossissant il les perd de lui-même. Quand il a quinze ou dix-huit ans, il est donc bien lisse, mais on ne sait pas comment il est

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cuthbert

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