Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 24 juillet 2025
Notre objectif principal était l'Oberland. Arrivés
Hantz qui parle le roman, et qui sait aussi un peu l'allemand de l'Oberland, suivait les vallées et les chemins, et s'informait dans les villages. Pour moi j'allais de chalets en chalets
Si le touriste, arrêté dans ces solitudes, prête l'oreille aux bruits de la nature, il n'entend pas, comme dans les sentiers de l'Oberland, le murmure harmonieux de la vie mêlé au grand silence de la montagne. Mais il saisit au loin les coups sourds du marteau-pilon, et, sous ses pieds, les détonations étouffées de la poudre. Il semble que le sol soit machiné comme les dessous d'un théâtre, que ces roches gigantesques sonnent creux et qu'elles peuvent d'un moment
Ce que je ne puis concevoir, c'est que, ne voulant pas me revoir, vous n'ayez pas même daigné me prévenir et m'épargner la peine de faire inutilement une course de trois cents lieues. Je pars demain pour les hautes montagnes de l'Oberland; la sauvage nature du pays sera d'accord avec la tristesse de mes pensées, dont vous êtes toujours l'objet!...»
Je viens de faire avec Mme M... et sa fille une longue tournée dans l'Oberland. Je n'aurais jamais cru que l'action des choses extérieures pût être aussi forte. La nature, dans son silence, est plus éloquente que la parole humaine. Oui, Aurélie, le spectacle de cette nature grandiose a fait sur mon esprit un effet inconcevable. Ces monts immaculés, ces pyramides de glace, ces lacs comblés par des volcans, ces roches menaçantes où s'abritent les touffes rosées du rhododendron, ces béantes cavernes où conduisent des sentiers parfumés de cyclamens, le grondement de l'avalanche qui se précipite, l'iris qui se balance dans la vapeur argentée des cascades, le cri de l'aigle et le bramement du chamois sur les cimes abandonnées, la fertilité des étroits plateaux disputée
L'Itinéraire de M. Adolphe Joanne est tellement exact et tellement complet qu'un jeune écrivain, qui publie en ce moment des articles sur l'Oberland dans la Revue de Paris, lui en faisait de sérieux reproches. «Ce livre, dit M. Francis Wey, m'impatienta par son exactitude même. Pour être agréable, un ouvrage de ce genre doit contenir quelques bonnes erreurs, quelques bévues flagrantes, afin que le lecteur puisse donner carrière au plaisir de la critique et reconnaître, avec un dédain satisfaisant, que nul n'a su voir aussi bien que lui. Le livre de M. Ad. Joanne ne fait pas de quartier, sous ce rapport,
Je le sais par expérience, car je suis retourné bien souvent en Suisse depuis 1834; j'ai revu presque toutes les villes que j'avais alors visitées; j'ai revu l'Oberland, il n'y a pas très longtemps.
Vous jugez bien que je voulais parler seulement des traits du visage: je suis persuadé que vous me rendrez cette justice. Dans certaines parties de l'Oberland, dans ces pâturages dont la pente générale est
Mot du Jour
D'autres à la Recherche