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La folle respira et s'assit sur le sol taché de son sang. Le silence continuait; l'alférez respirait avec force; la mégère qui l'observait d'un oeil inquiet reprit le fouet et lui demanda d'une voix tranquille et lente: Qu'as-tu donc? tu ne m'as pas encore dit bonsoir! L'alférez ne répondit pas; il appela l'ordonnance.

Le timide Linares était inquiet et triste. Il venait de recevoir une lettre de Da. Victorina dont nous corrigeons un peu l'orthographe afin de la rendre intelligible: «Estimé cousin: Je veux savoir avant trois jours si tu as été tué par l'alférez ou bien lui par toi. Je ne veux pas qu'un jour de plus s'écoule sans que cet animal soit puni. Si, passé ce délai, tu ne l'as pas encore provoqué, je dis

On le constatera, Père, on le constatera, et peut-être cela décrochera-t-il une mitre! répondit l'alférez radieux en contemplant les manches de son uniforme. Surtout, envoyez-moi les quatre gardes déguisés; eh? de la discrétion! Ce soir

Des coups de feu? répéta l'alférez en regardant les personnes présentes. Celles-ci firent un mouvement de tête affirmatif. Le P. Salvi reprit alors lentement avec un sourire cruel et sarcastique: Allons, je vois que vous ne savez pas arrêter les criminels, que vous ignorez ce que font les vôtres, mais que vous voulez vous faire prédicateur et apprendre aux autres leur devoir.

Et moi... mais enfin, savez-vous ce que c'était? demanda un homme sur la figure duquel se lisait la fourberie. Oui, les cuadrilleros! Non, señor, une révolte dans le quartier. Quelle révolte? le curé contre l'alférez? Mais non, rien de tout cela, dit celui qui avait posé la question; ce sont les Chinois qui se sont soulevés. Et il referma sa fenêtre.

Il paraît que Társilo ne désirait que le bâillon car, dès qu'il l'eut, ses yeux lancèrent un éclair de satisfaction. A un signe de l'alférez, un garde, armé d'un jonc, commença sa triste tâche. Tout le corps de Társilo se contracta, un rugissement étouffé, prolongé, se laissa entendre malgré le mouchoir qui lui fermait la bouche; il baissa la tête; ses effets se tachèrent de sang.

Et baissant la voix, avec grand mystère: J'ai découvert une grande conspiration. L'alférez fit un saut et, stupéfait, regarda le curé. Une conspiration terrible et bien ourdie qui doit éclater ce soir même. Ce soir même! s'écria l'alférez en s'élançant d'abord vers le P. Salvi; puis il courut

Je crois! taille, grande selon l'alférez, ordinaire selon le P. Dámaso; teint brun; yeux, noirs; nez, régulier; bouche, régulière; barbe, aucune; cheveux, noirs... Ah, ah! et signes particuliers? Chemise noire, pantalon noir, bûcheron... Ah! il ne s'échappera pas; il me semble déj

Oui; figurez-vous qu'en venant je me suis rencontré avec l'alférez qui voulait absolument m'imposer sa compagnie; pensant

Ceux qui savaient l'histoire du père de Crisóstomo firent un mouvement et eurent un clignement des paupières significatif: «Allons, bon! pensaient-ils, première parole, première sottisemais quelques-uns, plus bienveillants répondirent: Il doit être quelque peu fatigué... Comment quelque peu, s'écria l'alférez; il doit être rendu et, comme on dit ici, malunqueado. Quel sermon!