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Peu après l'éloquent discours de Dicéopolis dont nous n'avons cité que quelques vers, vient la parabase proprement dite, faite par le chœur d'Acharnéens. En voici une partie: Depuis que notre poëte préside aux chœurs comiques, on ne l'a pas encore vu s'avancer sur le devant du théâtre pour faire son éloge. Mais, aujourd'hui que ses ennemis le calomnient auprès des inconstants Athéniens, et l'accusent de jouer la république et d'insulter le peuple, il faut qu'il leur réplique devant vous. Il prétend vous rendre service, en vous avertissant de ne pas vous laisser décevoir par les discours des étrangers, ni duper par la flatterie, en vrais gobe-mouches politiques. Lorsque les députés des villes avaient l'intention de vous tromper, il leur suffisait de commencer ainsi: «O Athéniens couronnés de violettes,...» A ce mot de couronnés, vous vous dressiez, vous n'étiez plus assis que du bout des fesses. Qu'un autre, d'un ton emphatique, vint

Bien certainement, le moineau n'est point un oiseau séduisant, son plumage est terne et laid, son cri manque de mélodie, et certaines personnes l'accusent d'être voleur et immoral, ce que je refuse de croire: je ne sache pas non plus que les limaçons aient jamais passé pour des animaux très poétiques; il n'en est pas moins vrai que, depuis l'instant dont je viens de parler, j'adore les moineaux et les limaçons.

Ceux qui l'accusent d'avoir dirigé les massacres se fondent sur une parole de Danton

La bicyclette! Parlons-en, bien qu'on abuse peut-être du cyclisme dans les conversations. Cette nouveauté a ses dévots qui en disent tout le bien imaginable, et ses détracteurs qui l'accusent de tout le mal possible. Quoique j'aie peine

[Note 5: Le 20 avril 1731, le navire anglais Rebecca, capitaine Jenkins, est visité par les gardes-côtes de la Havane, qui l'accusent d'avoir

Cette légende populaire est répétée par tous les chroniqueurs sans exception, même par le petit nombre de ceux qui, n'approuvant point le changement de dynastie, disent que la cause de Hugues est une mauvaise cause, et l'accusent de trahison contre son seigneur et de révolte contre les décrets de l'

«Si l'on en doit croire les entours du Roi, personne autre que les compagnons de sa fuite n'a été dans la confidence de Sa Majesté, et tout le monde prétend y avoir été trompé. Beaucoup de MM. les gens de la cour qui caressaient lâchement les faibles et les erreurs du Roi l'accusent aujourd'hui avec la même lâcheté, et c'est

Il est de mon devoir, Monseigneur, non d'accuser M. de Bulow, ministre des finances, mais de dire que beaucoup de personnes l'accusent. Aux yeux de M. Jollivet, c'est un ennemi des Français, qui n'est jamais de bonne foi. Aux yeux de M. d'Albignac, c'est un Prussien qui nous trahit et qui dans cette vue augmente le désordre et favorise les dépenses.

Tous les historiens du temps représentent cet empereur comme un Sardanapale, un Thersite et un Copronime. Ils l'accusent d'avoir souillé les fonts baptismaux et l'autel sur lequel il fut couronné, étant enfant, présage de l'impureté de sa vie et de l'ignominie de son règne. «On peut dire de lui ce que Salluste dit de beaucoup de gens, qu'ils sont adonnés

L'homme qui s'est jugé comme la voix publique, qui conserve au dedans de lui tous les sentiments élevés qui l'accusent, et peut