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Mis à jour: 24 juin 2025
Si par hasard elle arrêtait avec complaisance ses yeux dans la glace, c'était de même que le jeune faon, quand, ayant vu passer dans le lac son ombre inquiète, il s'arrête d'abord, puis revient admirer ce qu'il prend pour un nouvel habitant de l'onde.
Un rocher se dresser sur l'onde 6217 Qui tout autour mugit et gronde. Les flots tumultueux, roulants, Incessamment battent ses flancs Et quelquefois si haut bondissent Que tout en mer l'ensevelissent. Quelquefois, secouant le flot Qui l'envahit et qui bientôt Retombe et vaincu se retire, Fier il se redresse et respire. Mais toujours il change d'aspect, Toujours se déguise et revêt Soudain une nouvelle forme, Toujours se mue et se transforme. Sitôt qu'il reparaît sur l'eau, Les fleurs de pointer aussitôt Ainsi qu'étoiles scintillantes Emmi les herbes verdoyantes, Zéphir en mer de chevaucher. Mais bientôt Bise vient faucher Les fleurettes et la verdure Sous le tranchant de sa froidure, Et les fleurs toutes de mourir Au moment de s'épanouir. Ce roc porte un bois redoutable Et d'une essence inexplicable. Tel arbre étend ses rameaux verts, L'autre ses bras maigres et clairs; L'un est stérile et rien ne porte, L'autre a des fruits de toute sorte. Quand l'un veut se prendre
Avoir toujours cherché, pressenti l'impossible Comme un sûr continent épandu et dissous; Et partout exigé un amour réversible, Qui fait que l'onde aussi aurait eu soif de nous; Errer dans les matins soulevés et bachiques Qui semblent pleins de temps, d'espoir, de chauds conseils Et ne plus leur livrer son âme nostalgique Puisqu'aucun coeur ne bat derrière le soleil;
80. Le Goth, le chrétien, le tems, la guerre, l'onde, le feu, ont humilié l'orgueil de la ville aux sept collines; elle a vu ses gloires expirer, astre par astre, et les rois barbares gravir
Il vivait, il jouait, riante créature. Que te sert d'avoir pris cet enfant, ô nature? N'as-tu pas les oiseaux peints de mille couleurs, Les astres, les grands bois, le ciel bleu, l'onde amère? Que te sert d'avoir pris cet enfant
L'onde triste hésita dans l'urne des fontaines; Le haut du mont trembla sous les pins chancelants, Et l'aquilon roula dans les gorges lointaines L'écho des grands soupirs arrachés
Deux séries de cassures apparaîtront, les unes parallèles au front de l'onde de marée, les autres suivant la direction des courants principaux que ces marées déterminent.
L'univers est posé sur mes deux mains chétives; Je songe aux morts, pour qui il n'est ni tôt, ni tard, Qui n'ont plus de souhaits, de départs, ni de rives. Que de jours ont passé sur ce qui fut mon coeur, Sur l'enfant que j'étais, sur cette adolescente Qui, fière comme l'onde et comme elle puissante, Luttait par son amour contre tout ce qui meurt!
Ah! depuis que les cieux, les champs, les bois, et l'onde, N'avaient plus d'âme, un deuil assombrissait le monde, Car le monde sans lyre est comme inhabité! Tu viens, tu ressaisis la lyre, tu l'accordes, Et, fier, tu rajeunis la gloire des sept cordes, Et tu refais aux dieux une immortalité. À TH
«Le lendemain l'onde était calme, et la flottille se mit en marche
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