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Mis à jour: 1 mai 2025


«Il me semble que la perruque est assez heureusement frondée dans ces versCela rappelle cette autre hardiesse avec laquelle dans l'Ode

Ma muse encor alourdie De son vieil somme, ha ordie L'Ode que je te presente, Tesmoing de ma volonté De te veoir plus haut monté Que ta fortune presente: Et venu aux derniers bords De ton heur, si prend envie Aux soeurs, ne me chaut si lors Couppent le fil de ma vie. Chant Funebre de feu Anne Philiponne, Damoyselle: A M. Albert, Seigneur de Sainct Alban.

Peu d'hommes ont joui de leur vivant d'une pareille popularité, d'une telle renommée, mais qui ne devaient lui survivre que très diminuées, et cela fort justement d'ailleurs. «Il a créé dans notre littérature, dit un judicieux critique, un genre qui n'existait pas avant lui, la chanson lyrique ou l'ode chantée. Son style est toujours (non pas, certes) pur, correct, élégant, son vers souvent inspiré. Lorsqu'il veut chanter les malheurs ou les gloires de la patrie, il élève et entraîne. Il sait aussi exprimer des sentiments plus tendres, et faire vibrer les fibres du coeur. Toutefois, même sous le rapport littéraire, il a été trop vanté. Comme chansonnier il manque de gaîté; son rire est amer et n'a ni l'abandon ni l'entrain de celui de Désaugiers, son émule. Comme poète lyrique, il manque de souffle; il a de l'inspiration, mais une inspiration qui dure peu et ne va guère au-del

Quand on lit aujourd'hui cette suite de vers se décharge et s'exhale son arrière-pensée, l'ode sur l'Assassinat du Duc d'Enghien, l'ode sur l'Enlèvement du Pape, on est frappé de tout ce qu'il dut par moments souffrir et contenir, pour que la surface officielle ne trahît rien au del

Et l'ange étreint Jacob, et l'âme tient le corps; Nul moyen de lutter; et tout revient alors, Le drame commencé dont l'ébauche frissonne, Ruy-Blas, Marion, Job, Sylva, son cor qui sonne, Ou le roman pleurant avec des yeux humains, Ou l'ode qui s'enfonce en deux profonds chemins, Dans l'azur près d'Horace, et dans l'ombre avec Dante; Il faut dans ces labeurs rentrer la tête ardente; Dans ces grands horizons subitement rouverts, Il faut de strophe en strophe, il faut de vers en vers, S'en aller devant soi, pensif, ivre de l'ombre; Il faut, rêveur nocturne en proie

Fougueux comme Pindare... et plus mythologique . [Note 40: En fait de mythologie, rien n'égale chez Le Brun la strophe suivante, tirée de l'ode sur le triomphe de nos Paysages, et que Charles Nodier aime

Les trois tons de l'ode, la prière, la colère, la philosophie, se combinent, comme on le voit, d'un seul jet dans cette ode. Le poëte invoque, il maudit, il condamne; le vers, de femme dans l'invocation pour son ami, devient viril et de flamme dans l'imprécation contre l'inventeur de la navigation; puis il devient calme, sévère et religieux dans les considérations sur la sacrilége audace humaine. L'ode est en trois bonds, comme celle de Pindare, son émule; mais dans chacun de ces trois bonds, en apparence désordonnés, il avance vers son but: émouvoir, attendrir, effrayer sur la vie de Virgile exposé

Ainsi, au moment il dit que la muse d'Horace le fuit, il la ressaisit et la fixe dans l'ode la plus gracieuse. Il dit qu'il ne prend rien, et la manière dont il le dit devient

Ibid., lig. 26. Voy. l'ode curieuse de Martianus Capella au soleil, traduite par Gébelin, volume du Calendrier, pag. 547 et 548.

Ils saluèrent dans de nombreux hymnes et chants publics en hébreu les armées de Napoléon comme le Messie sauveur. [Note 17: Pour ne citer que l'ode du célèbre rabbin Jacob Meïr en Alsace, un aïeul de la famille du grand-rabbin Zadoc Kahn, une autre composée par le grammairien polonais Ben-Zeeb

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