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Mis à jour: 17 juin 2025


Ce qui me touche encore, c'est son dégoût des hommes et des choses; de «ce qui est». Ce dégoût, bien qu'il l'exprime le plus souvent avec une insupportable affectation, je le crois, je le sens sincère. C'est vraiment une âme née malheureuse, tourmentée de désirs toujours indéterminés, toujours inassouvis, toujours douloureux. Cet homme, si peu simple en apparence, si obscur dans ses idées, si préoccupé d'étonner et de mystifier les autres, m'eût immensément déplu, j'imagine,

Tout son mépris pour les tyrans, sa compassion pour la nation injustement opprimée, il l'exprime dans sa poésie Ahoti Ruhama qui porte le titre: À l'honneur de la fille de Jacob violée par le fils de Hamor. Pourquoi pleures-tu, ma sœur affligée? Pourquoi cette désolation de l'esprit, cette anxiété du cœur?

Jamais on n'a mis dans l'intimité tant de désir de plaire! Jamais on n'a consacré un esprit si fait pour le monde au soulagement de la douleur solitaire! Je vous le dis, ma soeur, et vous finirez par l'éprouver; madame de Vernon est une personne d'un agrément irrésistible. J'ai connu des femmes piquantes et spirituelles; je comprenois facilement, quand elles parloient, comment on étoit aimable comme elles, et si je l'avois voulu, j'aurois réussi par les mêmes moyens; mais chaque mot de madame de Vernon est inattendu, et vous ne pouvez suivre les traces de son esprit, ni pour l'imiter, ni pour le prévoir. Si elle vous aime, elle vous l'exprime avec une sorte de négligence qui porte la conviction dans votre âme. Il semble que c'est

Qu'ai-je besoin d'en dire davantage? et qui ne comprend, sans que je l'exprime, ce qui va suivre?

Or, cette idée, Hugo l'exprime dans un couplet de quarante et un vers, par trente-cinq images différentes, toutes belles, toutes souverainement expressives.

Si beaux que soient des livres comme Consuelo, comme Mauprat, François le Champi, et la Mare au diable, il n'en est aucun qui l'exprime d'une manière adéquate, aucun qui la révèle d'une manière adéquate. Ainsi que l'a dit, il y a bien des années, M. Matthew Arnold, nous «sentons par derrière ces livres l'esprit qui se meut dans toute son œuvre».

Une pensée historique ressort avec évidence de la lecture de ces lettres de Rancé et jusque du sein de la réforme qu'il tente avec une énergie si héroïque: c'est que le temps des moines est fini, que le monde n'en veut plus, ne les comprend ni ne les comporte plus. Cela est vrai de l'aveu de Rancé lui-même, et il nous l'exprime

Sa conception de l'amour ne diffère guère de celle de Bernard de Ventadour; et il l'exprime comme lui avec sincérité et naïveté. Il a moins d'imagination peut-être, les débuts de ses chansons sont moins poétiques, on n'y trouve pas ces traits de pittoresque qu'on est souvent surpris et charmé de trouver chez Bernard; mais il a la même sincérité un peu ingénue, la même grâce. La convention est encore absente de cette poésie; ou du moins on la sent

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guèbres

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