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Mis à jour: 15 juin 2025
En vérité, ils montrent très clairement de quelle manière l'épopée donna naissance au drame dans le développement de l'art grec.
Mais quand ces questions resteraient indécises, ce qui ne l'est pas, ce qui demeure constant, c'est que dans l'épopée des Martyrs, tout ce qui fait allusion
Non pas, sans doute, d'une intelligence très profonde et très pénétrante des vraies conditions de l'art, lesquelles se sentent, plus qu'elles ne se comprennent. Ici la création est la mesure juste du sens critique, et l'invention juge la théorie. Voltaire se trompe, encore ici, sur le fond des choses, qu'il n'atteint pas. Il prend la galanterie pour l'amour, l'allégorie pour le merveilleux et l'histoire pour l'épopée. Mais dans les limites d'une intelligence qui fut toujours fermée aux trois ou quatre conceptions supérieures de l'âme humaine, la Henriade est un poème très intelligent. Je comprends qu'elle laisse froid, je ne comprends pas qu'elle ennuie. C'est de l'histoire anecdotique très amusante. Le sens critique que l'a conçue; mais le génie de curiosité l'a exécutée. Il y a l
Environ deux ans après. Chateaubriand a commencé (nous verrons comment) d'écrire le Génie du christianisme. Il a passé, le plus naturellement du monde, de «l'épopée de l'homme de la nature»
XLII.. Hélas! moi aussi je pleure, je pleure de honte sur ce ridicule résultat... moi, poète de l'épopée Juanique! Combien n'aurais-je pas mieux aimé quelque noble blessure
Ses pieds semblaient broyer des choses abattues Et ses mains agripper des socles de statues, Comme si le Christ-Dieu l'eût forgé tout en fer Pour écraser sous lui les rages de l'enfer. C'était un homme épris des époques d'épée, Où l'on jetait sa vie aux vers de l'épopée, Qui dans ce siècle flasque et dans ce temps bâtard, Apôtre épouvantant de noir, venait trop tard,
L'Iliade nous charme aujourd'hui par un caractère barbare et primitif que nous y découvrons de bonne foi. Au XVIIe siècle, on louait Homère d'avoir observé les règles de l'épopée. «Soyez assuré, disait Boileau, que si Homère a employé le mot chien, c'est que ce mot est noble en grec.» Ces idées nous semblent ridicules.
Sita, l'héroïne de l'épopée indienne, est la fille du sillon; au lieu de naître de la mer comme la Vénus grecque, elle naît du sillon sous le soc de la charrue du roi laboureur son père.
Telle fut l'impuissance de la poésie chevaleresque. Chaque jour plus sophistique et plus subtile, elle devint la soeur de la scolastique, une scolastique d'amour comme de dévotion. Dans le Midi, où les jongleurs la colportaient en petits poëmes par les cours et les châteaux, elle s'éteignit dans les raffinements de la forme, dans les entraves de la versification la plus artificielle et la plus laborieuse qui fut jamais. Au Nord, elle tomba de l'épopée au roman, du symbole
Ce poëme avait quelque analogie lointaine avec la Divine Comédie du Dante. Il y a néanmoins cette différence: c'est que l'intérêt est impossible dans le plan du Dante, attendu que son poëme n'est qu'un spectacle auquel il assiste sans y prendre part, une espèce de revue rapide des supplices de quelques ombres de ses ennemis. Les personnages passent comme des fantômes sous le fouet des démons et sous l'oeil du poëte; l'intérêt, sans cesse morcelé et interrompu, passe avec eux et ne laisse qu'un éblouissement dans l'imagination; tandis que, dans l'épopée telle que je la concevais, l'intérêt attaché aux mêmes âmes dans des péripéties diverses ne se rompait qu'
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