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Mis à jour: 13 juin 2025
Désir de la paix. L'honneur de nos armes réparé. Difficultés élevées par l'empereur Alexandre. Médiation de l'Autriche. Temps perdu. Départ de Dresde. Beauté de l'armée française. L'Angleterre âme de la coalition. Les conditions de Lunéville. Guerre nationale en Prusse. Retour vers le passé. Circonstances du séjour
Mais est-il de l'intérêt de l'Angleterre de prolonger la guerre, même avec le secours de l'Autriche? Un Anglais éclairé disait dans une circonstance solennelle, que le cabinet de Saint-James était dans une fausse direction, quand il désirait vouloir acheter par des sacrifices pécuniaires une coalition. Il observait que la première coalition avait livré
Le czar était tout Espagnol en ce moment par sa haine de l'Autriche, par son extrême crainte que la France ne prit avec elles des engagements définitifs. Le Régent l'amusait, faisait croire et
Murat avait signé, les 6 et 11 janvier 1814, deux traités, l'un avec l'Autriche, l'autre avec l'Angleterre, par lesquels ces deux puissances lui garantissaient ses
Je reviens sur quelques détails. Le comte de Neipperg, chargé d'une mission extraordinaire de l'Autriche, se trouvait alors
L'antique ville de Venise, placée au milieu de ses lagunes, pouvait présenter encore des difficultés presque invincibles, même au général qui venait d'humilier l'Autriche. Toutes les lagunes étaient armées. Elle avait trente-sept galères, cent soixante-huit barques canonnières, portant sept cent cinquante bouches
L'aile droite et le général Lecourbe attaquaient l'Autriche.
La Société fraternelle a des affiliations dans tout le pays. Ses membres fomentent la guerre contre l'Autriche. Les femmes ne se contentent pas de leurs clubs; elles assistent et pérorent aux séances des clubs masculins et de l'Assemblée.
Le discours de l'empereur fut simple et imposant; on l'approuva généralement; les sujets de plaintes que nous pouvions avoir contre l'Autriche furent longuement exposés dans le Moniteur. Nul doute que l'Angleterre, sinon inquiète, du moins fatiguée par le séjour de nos troupes sur les côtes, n'ait employé toute sa politique
Cette diversion, dont la décadence militaire des Ottomans diminuait la valeur, n'était pourtant que l'un des services qu'il attendait de l'Orient: ce qu'il voulait toujours de ces régions, c'était un moyen de rompre le concert de nos ennemis. Au dix-huitième siècle, l'Autriche et la Prusse s'étaient émues tour
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