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Réfugié d'abord en Angleterre, il publia son roman d'Adolphe, il rentra en France en 1816. On le dénonçait aux fureurs de la réaction; on le provoqua, on l'attaqua même en pleine rue,

Mazzoni lui répondit par une défense en règle du Dante; Bulgarini l'attaqua par des considérations; Mazzoni répliqua par un ouvrage plus gros que le premier, qui lui attira une forte duplique; d'autres se jetèrent dans la mêlée, les uns pour, les autres contre; enfin les écrits qui attaquèrent et qui défendirent alors notre poëte, et ceux qui l'ont attaqué ou défendu depuis, lui forment dans les bibliothèques italiennes un cortége imposant et nombreux.

Dans la discussion du budget du ministère de la marine, un débat s'éleva sur les conséquences de l'expédition ordonnée en 1831 par le cabinet de M. Casimir Périer dans les eaux du Tage, sous le commandement de l'amiral Roussin, et qui avait amené la capture d'une partie de la flotte portugaise. Le gouvernement ne considérait pas cette expédition comme ayant constitué, entre la France et le Portugal, un véritable état de guerre et devant en entraîner toutes les conséquences. M. Mauguin s'étonna de cette politique et l'attaqua en soutenant qu'il y avait eu l

Le 26, le général Lannes marcha contre l'ennemi, il l'attaqua dans sa position; et, après un combat fort chaud, le culbuta et le rejeta en désordre sur Turin. L'avant-garde prit aussitôt la position de Chivasso, d'où elle intercepta le cours du , et s'empara d'un grand nombre de barques chargées de vivres, de blessés, et enfin de toute l'évacuation de Turin. Le premier consul passa, le 28 mai, la revue de l'avant-garde

Les gazettes étrangères disaient: «Luxembourg a vaincu TurgotLa chose retentit. La reine s'excusa près de Marie-Thérèse et s'en lava les mains, prétendant n'y être pour rien. Mais personne ne le pensait. De même que sa soeur Caroline de Naples avait chassé le vieux ministre dirigeant, l'illustre Tanucci, on crut que Marie-Antoinette ferait bientôt chasser Turgot. Le Parlement le sentit mûr, près de tomber, l'attaqua sans ménagement. On censura une brochure (de Voltaire) qui le défendait. On condamna, on fit brûler par le bourreau, un livre modéré, très-sage, d'un commis de Turgot (mars 1776). Coup violent. Il voyait bien sa chute, et regrettait de succomber avant d'avoir pu essayer la troisième partie de sa révolution, son plan d'instruction et de municipalisation. Dans les dangers qu'il prévoyait, il frémissait de laisser ce peuple orphelin qui irait, ignorant, barbare,

L'ennemi l'attaqua quatre fois avec des forces considérables, quatre fois il fut repoussé avec une grande perte. A cinq heures du soir, l'empereur fit avancer ses réserves d'artillerie, et reploya tout le feu de l'ennemi, qui s'éloigna

Elle l'attaqua ce jour-l

«L'ennemi voulut bientôt nous faire évacuer le village, et l'attaqua avec beaucoup de vigueur. Il fut défendu avec opiniâtreté par le général bavarois Becker, commandant la deuxième brigade. Mais, après un certain temps, de nouveaux secours lui furent nécessaires pour conserver une partie du village dont l'autre lui avait été prise par l'ennemi.

A peine fut-il parti, que l'espèce de stupeur qu'avait causée cet homme singulier se dissipa. Chacun l'attaqua, le déprisa, l'accusa de folie. On se rappela qu'environ neuf ans auparavant, il avait fait des sorties tout aussi incroyables et tout aussi sauvages. L'intérêt qu'il avait un moment excité en racontant la perfidie de mademoiselle de Maran se refroidit bientôt; presque tous nos parents se rallièrent

Un poëte de ce temps, qui eut encore plus de renommée, ce fut Guido Cavalcanti. Sa famille était une des plus illustres et des plus puissantes de Florence. Guido fut un ardent Gibelin, et devint plus ardent encore en épousant la fille de Farinata degli Uberti, alors chef de cette faction. Corso Donati, chef du parti des Guelfes, homme alors fort en crédit en Florence, et personnellement ennemi de Guido, voulut le faire assassiner. Guido l'ayant su, l'attaqua