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Mis à jour: 31 mai 2025


Sa mère ne pouvait lui donner un nom, et Jacques ne voulait pas que son fils fût un bâtard. Et vous veniez pour l'adopter! Je vous l'aurais dit déj

Le lendemain 19, après le déjeuner, le roi Léopold voulut me revoir avant d'entrer en conversation avec lord Palmerston: «Entendons-nous bien, me dit-il, et rendons-nous compte bien exactement de ce que nous voulons faire; c'est le système du statu quo garanti par les cinq puissances, et garanti au profit de tous comme contre tous, que je vais exposer et soutenir. Oui, Sire, et les avantages en sont si grands, si évidents que, si rien n'était compromis, tout le monde, j'ose le dire, s'empresserait de l'adopter. Ce système vide

Quoique je respecte cette filiation, et que je m'y soumette quelquefois, je suis loin cependant de l'adopter rigoureusement; n'est-elle pas en effet bien difficile dans des siècles les voyages étaient si peu connus, et les communications si interrompues; il est des modes, des usages, des goûts qui ne se transmettent point; inhérents

Je n'aime pas ce plan, redit M. Pickwick; mais il faut bien l'adopter, car je n'en vois pas d'autre, et il s'agit du bonheur de cette jeune personne, pour toute sa vie. J'y irai, soyez-en sûrAinsi, pour la seconde fois, la bonté naturelle de M. Pickwick l'entraîna dans une entreprise, dont son excellent jugement l'aurait détourné. «Comment s'appelle la maison? demanda-t-il.

René, venant du Fort Rosalie (qui est un poste français) arrive chez les Natchez pour se faire sauvage. Il se présente au vieux sachem Chactas, qui lui demande son histoire. «Mais le frère d'Amélie répond d'une voix troublée: Indien, ma vie est sans aventures, et le cœur de René ne se raconte pointIl supplie Chactas de le faire admettre au nombre des guerriers Natchez et de l'adopter lui-même pour son fils. Chactas y consent et offre

On a dit que celui qui n'a qu'un assignat de cent livres sera grevé, parce qu'il sera obligé de vendre son assignat. Je réponds qu'il y gagnera, car les denrées baisseront; d'ailleurs, ce ne sont pas les hommes de la Révolution qui ont ces assignats. Soyez comme la nature, elle voit la conservation de l'espèce; ne regardez pas les individus. Si le despotisme triomphait, il ferait disparaître tous les signes de la liberté. Eh bien, ne souillez pas les yeux des amis de la liberté de l'image du tyran dont la tête est tombée sous le glaive de la loi. Les despotes de l'Europe diront: "Quelle est cette nation puissante qui par un seul décret améliore la fortune publique, soulage le peuple, fait revivre le crédit national, et prépare de nouveaux moyens de combattre les ennemis?" Cette mesure n'est pas nouvelle, Cambon l'a longtemps méditée; il est de votre devoir de l'adopter; si vous ne l'adoptez pas, la discussion qui vient d'avoir lieu produira des inconvénients qui peuvent être attachés

Du quinzième siècle au dix-septième, la confusion est absolue pour le costume au théâtre. Ce qui domine, c'est un besoin de richesse croissant, sans aucun souci de bon sens ni d'exactitude. Dans les ballets, dans les embryons des premiers opéras, on voit les déesses, les rois, les reines, vêtus d'étoffes d'or et d'argent, avec une fantaisie et une prodigalité dont nos féeries peuvent donner une idée. Les pièces historiques, d'ailleurs, sont traitées de la même façon; les Grecs, les Romains, ont des ajustements mythologiques du caprice le plus singulier. Pourtant, dès Mazarin, un mouvement se produit vers la vérité; le cardinal apportait de l'Italie le goût de l'antiquité; seulement, il faut ajouter que les costumes offraient toujours d étranges compromis. Enfin, arrive le costume romain, tel que le portaient les héros de Racine. Ce costume était copié sur celui des statues d'empereurs romains que nous a laissées l'antiquité. Mais Louis XIV, qui venait de l'adopter pour ses carrousels, l'avait défiguré d'une étonnante manière.

Elle demanda la faveur de prendre l'enfant chez elle, et de l'adopter pour son fils, faveur que le bonze lui accorda avec le plus grand empressement. Benké devint donc le fils adoptif de sa tante, la vertueuse Sammi. Celle-ci l'emmena

Sorba, de son côté, produisait un autre plan pour dissimuler la cession pure et simple ou la vente. Sa teneur paraissait bizarre, et cependant nous verrons qu'on finit par l'adopter.

Alors même qu'ils la jugeraient imparfaite, il faudrait encore l'adopter comme nécessaire.

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besset

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