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Mis à jour: 18 juin 2025


Vous êtes injuste, ma chère Mathilde; la fin de ceci vous prouvera que notre ami a au contraire parfaitement agi. Madame de Ksernika releva, bien entendu, le mot de tendrement, et dit

En effet, Gontran traversait un salon avec la princesse Ksernika; il lui donnait le bras, et lui parlait bas en souriant. Elle baissa les yeux, rougit légèrement, sourit aussi, et fit un petit mouvement d'impatience.

Gontran s'en aperçut; il profita d'un moment M. Lugarto et madame de Ksernika étaient penchés

Allez, allez, chère petite, et faites-vous le plus jolie possible; ça désarme quelquefois les plus furieux: la belle princesse Ksernika s'y connaissait, et elle n'y manquait jamais. Elle s'attifait toujours

Madame Ksernika était en effet d'une pâleur extrême, elle semblait fascinée par la révélation que venait de lui faire M. Lugarto. A ce moment, mademoiselle de Maran causait

Tout ce que je pus faire fut d'être pour lui d'une politesse presque bienveillante; il en parut plus étonné que touché: il me considérait attentivement, comme s'il eût douté de cette apparence; il fut pour moi de la plus extrême prévenance. Gontran était placé auprès de la princesse Ksernika; soucieux, absorbé, il répondait

Me défendre... et contre qui? Contre votre mari... car, malgré moi, je pense toujours que le prince Kserniki a souvent battu comme plâtre la belle princesse Ksernika, sa femme, pour bien moins que ça, ma foi! Je vois avec plaisir, madame,

Cette mortelle journée finit enfin. Hélas! elle devait contenir pour ainsi dire dans leur germe bien des malheurs pour l'avenir... Je viens de relire ces pages, cette réflexion me semble encore plus juste; il n'est pas un des faits les plus insignifiants de ce jour qui n'ait eu plus tard un cruel développement. Plusieurs jours se passèrent; la princesse Ksernika vint me voir.

Quelle fut ma surprise en entrant dans le salon de retrouver M. Lugarto! J'y vis aussi la princesse Ksernika, qui assistait

En sortant, comme je louais beaucoup Stéphen (c'est le nom de ce comédien), tandis que la princesse Ksernika l'attaquait comme elle peut attaquer, la pauvre femme, M. de Lancry ne s'est-il pas avisé de me faire observer, avec la plus respectueuse mesure, il est vrai, que je défendais peut-être Stéphen un peu chaudement... J'ai regardé fixement M. de Lancry de mon regard noir... Il a compris sa faute... Il était trop tard... J'ai souri de mon plus doux sourire, et, m'appuyant coquettement sur son bras, je lui ai dit tout bas... bien bas, que j'écrirais le lendemain matin

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