Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 13 juillet 2025
À Paris, Kourakine avait été envoyé pour représenter plutôt que pour traiter: il avait été choisi
«Vous nous avez donné des nouvelles, prince», dit-il d'un air avenant. Il s'agissait de bulletins récemment communiqués par l'ambassade russe et portant avis d'une rencontre en Orient, aux environs de Rouchtchouk, entre les troupes que la Russie avait laissées sur le Danube, sous le commandement de Kutusof, et l'armée ottomane. L'affaire avait été chaude et indécise: les deux partis s'attribuaient la victoire. Kourakine vanta la valeur de ses compatriotes: Napoléon rendit hommage
A Paris même, au siège de la puissance française, était-il impossible de s'ouvrir des accès? Derrière l'ambassadeur Kourakine dont l'intelligence baissait tous les jours sous le poids de l'âge et des infirmités, derrière ce fantôme de représentant, Alexandre entretenait un mystérieux chargé d'affaires, dépourvu de tout titre dans la hiérarchie diplomatique. C'était ce jeune comte Tchernitchef, colonel aux gardes, que nous avons vu servir en 1809 et 1810 d'intermédiaire
Kourakine releva avec terreur l'aveu du ministre: «Quand l'Empereur sera parti et que vous aurez également quitté Paris
Trois jours passèrent encore; il n'était plus question du traité, et Kourakine, ébranlé dans son optimisme, moins crédule qu'on ne l'avait supposé, se sentait envahi d'un trouble croissant: il en venait
[Note 434: Bulletin de police. Archives nationales, AF, IV, 1508, 3 avril 1810. «Quelques plaisants, ajoute le bulletin, en voyant M. de Metternich conduire M. de Kourakine, disaient: C'est dans l'ordre, c'est lui qui le met
À la fin, Kourakine prit le parti de se retirer et de se reposer dans un salon écarté, mis
Il poursuivit néanmoins, et lui expliqua que l'Empereur Alexandre ne voyait point de casus belli dans la demande de passeports faite par Kourakine, que ce dernier avait agi ainsi de son propre chef, que l'Empereur ne voulait pas la guerre, et qu'il n'avait aucune entente avec l'Angleterre....
[Note 496: «Je vis, je vois encore écrit le feu duc de Broglie dans ses Souvenirs le pauvre prince Kourakine, perclus de goutte, couvert de diamants, roulant son énormité sous les décombres, et le général Hulot, le frère de la maréchale Moreau, employant
Il avait été question naguère d'un mariage entre Catherine Pavlovna et le prince royal de Bavière. Dans l'été de 1808, le prince Kourakine, ambassadeur de Russie
Mot du Jour
D'autres à la Recherche