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Mis à jour: 23 juin 2025
Dolly et Jane occuperaient ensemble une «kibitka», sorte de tente
Le lendemain matin on vint m'appeler de la part de Pougatcheff. Je me rendis chez lui. Devant sa porte se tenait une kibitka attelée de trois chevaux tatars. La foule encombrait la rue. Pougatcheff, que je rencontrai dans l'antichambre, était vêtu d'un habit de voyage, d'une pelisse et d'un bonnet kirghises. Ses convives de la veille l'entouraient, et avaient pris un air de soumission qui contrastait fort avec ce que j'avais vu le soir précédent. Pougatcheff me dit gaiement bonjour, et m'ordonna de m'asseoir
Nous nous séparâmes en amis. Pougatcheff aperçut dans la foule Akoulina Pamphilovna, et la menaça amicalement du doigt en clignant de l'oeil d'une manière significative. Puis il s'assit dans sa kibitka, en donnant l'ordre de retourner
La kibitka s'arrêta devant le perron de la maison du commandant. Les habitants avaient reconnu la clochette de Pougatcheff et étaient accourus en foule. Chvabrine vint
Rien de bon aujourd'hui.... On a expédié vingt kibitka pour la Sibérie. JEGOTA. De qui? des nôtres? JEAN. D'étudiants de Samogitie. TOUS. En Sibérie!
Serko poussa quelques aboiements, et la kibitka descendit au petit trot la route qui s'engageait dans Krasnoiarsk.
Sa sagacité et la finesse de son odorat me remplirent d'étonnement. J'ordonnai au cocher d'aller où l'autre voulait. Les chevaux marchaient lourdement dans la neige profonde. La kibitka s'avançait avec lenteur, tantôt soulevée sur un amas, tantôt précipitée dans une fosse et se balançant de côté et d'autre. Cela ressemblait beaucoup aux mouvements d'une barque sur la mer agitée. Savéliitch poussait des gémissements profonds, en tombant
Pougatcheff partit. Je regardai longtemps la steppe sur laquelle glissait rapidement sa kibitka. La foule se dissipa, Chvabrine disparut. Je regagnai la maison du pope, où tout se préparait pour notre départ. Notre petit bagage avait été mis dans le vieil équipage du commandant. En un instant les chevaux furent attelés. Marie alla dire un dernier adieu au tombeau de ses parents, enterrés derrière l
Je passai la tête hors de la kibitka; tout était obscurité et tourbillon. Le vent soufflait avec une expression tellement féroce, qu'il semblait en être animé. La neige s'amoncelait sur nous et nous couvrait. Les chevaux allaient au pas, et ils s'arrêtèrent bientôt. «Pourquoi n'avances-tu pas? dis-je au cocher avec impatience. Mais où avancer? répondit-il en descendant du traîneau.
Je quittai la kibitka. Le bourane durait encore, mais avec une moindre violence. Il faisait si noir qu
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