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Mis à jour: 3 novembre 2025


»Vous jugez, mes amis, de l'excès de ma douleur, de mon repentir. Je me jette sur ce corps sanglant pour le ranimer du feu de mes baisers. Vains efforts; il reste froid, froid.... glacé.... Mais abrégeons cette scène d'horreur.

Certes, ce n'était pas une telle femme que pouvait séduire le titre de receveur-général des finances, et, sous tout autre rapport, M. de Calonne m'a toujours semblé peu séduisant; car il portait une perruque fiscale. Une perruque! jugez comme, avec mon amour du pittoresque, j'aurais pu m'accoutumer

Jugez doucement votre frère, l'homme, Plus doucement encore la femme, votre soeur; Encore qu'ils puissent errer un peu, Se dévoyer est chose humaine; Un point reste toujours obscur: Le motif pourquoi ils ont agi; Et tout aussi impuissante êtes-vous

«Et ne me jugez pas cynique, mon ami, de plaisanter un peu

Vous jugez, mon cher Ella, de ma honte, quand Duc vint me répéter l'apostrophe. Je me hâtai alors de faire amende honorable, en publiant humblement sous mon nom cette pauvre petite œuvre, mais en laissant toutefois subsister sur le titre les mots: «Attribué

Vous, vous jugez, vous condamnez, vous exécutez votre sentence. Votre tribunal, s'il n'est pas horrible, n'est qu'une triste bouffonnerie, et puisque vous vous déclarez mage, je vous citerai l'exemple de vos maîtres, de nos maîtres, de Jésus, de Boudha, de Pythagore, de Platon, de Socrate, qui ne surent que mourir et pardonner.

Vous me jugez mal; ce n'est pas Steno qui pouvait ainsi m'émouvoir: s'il en eût été capable, il serait aujourd'hui mais laissons ce qui est passé. Mais alors quelles sont donc les pensées qui vous agitent, même dans ce moment-ci? C'est la majesté de Venise aujourd'hui violée, et d'un seul coup outragée dans son prince et dans ses lois. Hélas! pourquoi en prenez-vous cette opinion?

«L'Empereur va marcher sur Troyes; ayez soin de surveiller Arcis-sur-Aube; vous pouvez vous y porter si vous le jugez nécessaire; mais alors il faut que vous marchiez sur la rive droite de l'Aube. Par cette position toutefois, votre but étant d'être opposé

Je suis venu pour m'expliquer, madame... et j'ai hâte que l'explication soit achevée... Veuillez donc me prêter attention... Je ne sais pas comment vous me jugez: je crois que vous me jugez mal... ainsi peut-on, dans certains cas, esquiver par la colère les corvées de la reconnaissance. Avec moi, madame? on n'esquive rien.

Vous le savez, mon ami, mon père est le meilleur des hommes, mais il est d'une inflexible ténacité de volonté lorsqu'il s'agit de ce qu'il regarde comme son devoir; jugez de mes angoisses, de mes craintes. Quoique la démarche qu'il va tenter soit, après tout, franche et honorable, elle ne m'en inquiète pas moins. Comment le grand-duc accueillera-t-il cette folle demande?

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