Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 21 juin 2025


Il ne vit dans sa proposition que des rubans, des bonbons, des petits chiens et de belles chambres toutes pleines de ces bibelots qu'il prenait pour des jouets. Ses yeux brillèrent de naïve convoitise, et Bois-Doré, aussi naïf que lui dans son genre, s'écria: Vive Dieu! maître Jovelin, cet enfant est quelque chose. Avez-vous vu comme ses yeux ont relui

Dans la construction récente accolée au flanc de ce petit édifice, étaient superposées les chambres d'Adamas, de Clindor et de Jovelin, communiquant avec celles de la grand'maison; c'est ainsi que, sans raillerie, on appelait ingénument, dans le village, le petit pavillon du marquis.

Ils le suivirent et s'inquiétèrent alors de maître Jovelin. Mais M. Poulain arrangea tout, en déclarant qu'il connaissait Jovelin pour orthodoxe et que, d'ailleurs, il assistait aux leçons du petit gentilhomme. M. Poulain les craignait plus qu'il ne les aimait; mais il était de force

Alors, ceci devient grave! dit le marquis tout pensif, et je vois, dans le Villareal, un fort méchant homme. Pourtant, il se peut qu'aucune de ces armes n'ait été en sa possession, il y a dix ans, et qu'il les ait reçues depuis en don ou en héritage. Il serait alors le parent ou l'ami de l'assassin; il se trouve des scélérats et des lâches dans les meilleures familles. Comme vous, maître Jovelin, j'ai mauvaise opinion de notre hôte; mais je suis certain que, comme moi, vous hésitez encore beaucoup

Quand on eut pris place, Lucilio joua un beau morceau d'ouverture, et le page Clindor parut sur la scène, en costume de berger de fantaisie. Il chanta des couplets rustiques assez jolis, vu qu'ils étaient de la façon de maître Jovelin; puis il se mit

Maître Jovelin ne se souciait pas trop de s'y prêter, ajouta Adamas; mais il fallait vous sauver, il n'y avait pas

Il haïssait décidément Lucilio. Il savait son prénom, échappé devant lui au marquis, et d'après cette révélation, M. Poulain, qui était fort au courant des hérésies contemporaines, avait deviné, presque avec certitude, que Jovelin était la traduction libre de Giovellino. La circonstance de la mutilation le confirmait dans ce soupçon, et déj

Le marquis avait un air de triomphe discret et modeste qui le faisait redoubler de politesse et de prévenance pour son hôte. D'Alvimar ne put se venger de sa défaite qu'en éclaboussant tant qu'il put maître Jovelin, trottant derrière le marquis. À peine arrivé au manoir, comme l'heure du souper n'était pas encore venue, il sortit

Voyons, ne pleurez pas, mon enfant, dit le marquis agité, en prenant des mains d'Adamas la lettre de son frère et le papier froissé et usé que Mario avait apporté. Qu'as-tu, Adamas, et pourquoi trembles-tu de la sorte? Qu'est-ce donc que ce papier taché de noir? Vrai Dieu! ce sont des traces de sang! Rapproche la bougie, Adamas, voyons!... Eh! mes amis! eh! monseigneur Dieu qui êtes au ciel! Jovelin! Adamas! voyons ceci! Je ne suis point halluciné? C'est l'écriture, c'est le vrai caractère de mon frère chéri? Et ce sang... Ah! mes amis, cela est bien dur

Il était onze heures du soir quand le marquis rentra dans son salon. Jovelin accourut se jeter dans ses bras. Sa figure expressive disait assez quelles angoisses d'inquiétude il avait éprouvées.

Mot du Jour

n'usait

D'autres à la Recherche