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Mis à jour: 19 mai 2025


Après la révolution militaire de Constantinople et le retour au pouvoir des Jeunes-Turcs qui avaient décidé de faire un nouvel effort désespéré pour conserver

Cette politique sociale menaçait les beys dans leur influence héréditaire: les Jeunes-Turcs auraient-ils réussi

Quand je visitais Essad, c'était la lutte entre Albanais et Jeunes-Turcs; ceux-ci avaient d'abord usé de la douceur et de la flatterie, puis avaient cru persuader les Albanais de se confier

Celle-ci s'en vengea en 1909: après le mouvement de réaction de Constantinople et la victoire des jeunes-turcs, ces derniers impliquèrent les beys de Vallona dans un complot et les inculpèrent de trahison ou de réaction. La plupart durent fuir

Les Albanais, notamment, étaient particulièrement actifs; entre eux et les Jeunes-Turcs existait ici avant la conquête serbe une continuelle rivalité; les uns et les autres avaient leurs clubs, celui d'Union et Progrès, présidé par Burkhaneddin bey, directeur des travaux publics du vilayet, et celui des Albanais dirigé par Fehim bey.

Nous arrivons chez un des notables de la ville, Kiamil bey, le bey le plus influent de Gostivar, qui groupe autour de lui tous les grands propriétaires albanais et qui d'ailleurs était assez hostile aux Jeunes-Turcs, mais il est en ce moment absent; un autre, Yachar bey, est au contraire

Les Jeunes-Turcs, pour contrecarrer ces efforts, s'avisèrent d'un moyen qui n'était pas sans ingéniosité, mais qui exalta au plus haut point la colère des beys. Ils désignèrent comme Kaïmakan

Les vues politiques des Jeunes-Turcs, alors même que ceux-ci auraient toujours des convictions sincères résistant

Cette propagande a d'abord un certain succès; jusqu'en 1908, les Jeunes-Turcs, amis des beys, dont ils ont besoin pour s'établir, laissent la population libre et celle-ci ne connaît et ne veut que l'albanais; au Congrès de Dibra, ils circonviennent les délégués de l'Albanie du Nord, qui ne s'inquiétaient guère du congrès et de ce qui s'y passait; ils persuadent les musulmans fanatiques de Scutari qui ne connaissent pas un mot de turc que, voter pour la langue turque, c'est voter pour le Padischah contre l'infidèle, et ainsi ils font proclamer contre le gré des délégués du Centre et du Sud que le turc doit devenir la langue d'enseignement dans les écoles albanaises.

Elle existe! répondit le drogman... Pour cela, il n'y a pas de doute... Et il n'y a pas que moi qui y croie! Qui donc encore? Eh bien, le gouvernement actuel, qui a fait tout son possible pour la découvrir et qui n'y a point réussi encore!... Pas possible! Enfin, vous savez si les Jeunes-Turcs, dès le lendemain de la révolution, ont fait tout bouleverser

Mot du Jour

cuthbert

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