United States or Singapore ? Vote for the TOP Country of the Week !


Vraiment! Je vous assure. Elle comprit sans doute que c'était l'expression maladroite d'un désir, car comme quelqu'un qui vous offre une recommandation que vous n'osiez pas solliciter, mais dont vos paroles lui ont prouvé qu'elle pouvait vous être utile: Voulez-vous que j'essaye? dit-elle avec l'humilité de la femme.

Veux-tu me répondre, oui ou non? Est-ce Mme Pion qui t'a donné ce raisin? Oui, papa. Alors, tu acceptes quelque chose d'un bonapartiste? Tu manges des raisins badingueusards? Tu n'as pas honte? J'essaye de sauver mon raisin. Si, papa, j'ai honte. Alors, jette ta grappe. J'hésite. Quel dommage! De si bon raisin! Jette ta grappe!

J'essaye d'arrêter mes larmes, et de lui répondre: «Oh! Dora, mon amour, vous ne l'étiez pas moins que moi de faire un mari! Je n'en sais rien. Et elle secouait comme jadis ses longues boucles. Peut-être. Mais si j'avais été plus en état de me marier, cela vous aurait peut-être fait du bien aussi. D'ailleurs, vous avez beaucoup d'esprit et moi je n'en ai pas.

J'essaye de parler; mais Adèle m'impose silence, d'un geste.

...Il va pleuvoir, le ciel est gris, les crêtes du mont Zaccar s'enveloppent de brume. Dimanche triste... Dans ma petite chambre d'hôtel, la fenêtre ouverte sur les remparts arabes, j'essaye de me distraire en allumant des cigarettes... On a mis

Oui, tâche, murmura Justin qui essuya la sueur de ses tempes; ma tête est bien faible et j'essaye en vain de te suivre.

C'est bien simple, répondit-elle. S'il peut se passer de moi, il ne se souciera plus de moi. Mais si vous l'oubliez? Je ne l'oublierai pas. Alors c'est volontairement que vous le condamnez au supplice de l'attente et aux tortures de la faim, car il crie sans cesse. C'est volontairement; j'essaye sur lui la méthode de mon père.

Bel-Kassem, pourquoi ma mémoire infidèle ne retrouve-t-elle pas les brillantes images tu nous peignais si bien les merveilles de ton pays natal, étalées sous nos yeux? Pardonne-moi, fils des montagnes berbères, si le tableau que j'essaye d'en tracer est aussi pâle que ma lampe devant ton soleil.

J'excuserais même les politiciens de ne point faire ce mois-ci de politique. Je lis j'essaye de lire ce qu'ils écrivent. Je les vois échanger les mêmes injures que l'hiver dernier, pour les mêmes raisons qui les feront de nouveau s'entre-dévorer l'hiver prochain; et j'admire la ténacité de passions si fortes qu'elles résistent même aux séductions d'une trêve possible la trêve des grandes vacances.

Sortirai-je jamais d'ici? Encore quatre mois, mon Dieu!... comme c'est long! Je passe des jours bien tristes et des nuits bien lugubres! J'essaye, pourtant, d'atténuer la sensation trop forte du présent avec la vision de l'avenir.