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J'avoue que l'ambition mondaine fut encore mon but jusqu'au moment je fus désigné pour recevoir les ordres sacrés. Dans ma dernière retraite préparatoire, je sentis la grâce, je reconnus mon néant, je m'humiliai et je travaillai sincèrement

«Je ne sais pas si vous avez eu l'occasion, soit dans ce pays ou en France, de remarquer combien il en est peu qui sont heureux en ménage. En ma qualité de garçon, de militaire et de mauvais sujet (j'avoue ce dernier défaut en toute sincérité de coeur) j'ai pu remarquer, moi, que le nombre des mariages malheureux est effrayant pour ceux qui songent

Mon Menon, que je t'aime! que tu fais bien cela! courage cher coeur, bijou de mon ame!... Ah! double fils de Putain! Chien! Boug... tu me créves... Jeanf... finiras-tu? Pardon, mon doux ami, épargne-moi... je n'en puis plusJ'avoue que je n'eus pas la force de voir de sang-froid une scéne si luxurieuse.

J'avoue que le spectacle de ce diplomate, de si équivoque renommée dans sa vie privée, usant ses dernières forces, sans intérêt d'ambition et sans autre rétribution que les injures des journalistes et des tribunes en France,

Je suis loin de trouver notre organisation parfaite, mais j'avoue que je ne partage pas votre manière de voir; moquez-vous de Bonaparte, si cela vous plaît: il n'en sera pas moins un grand capitaine. Michel Ivanovitch, s'écria le vieux prince, entendez-vousL'architecte, qui était fort occupé de son rôti, avait espéré se faire oublier.

J'avoue, dit la favorite, qu'il n'est pas toujours évident que les autres pensent. Et ajoutez, reprit Mangogul, qu'en cent occasions il est évident qu'ils ne pensent pas. Mais ce serait, ce me semble, aller bien vite, reprit Mirzoza, que d'en conclure qu'ils n'ont jamais pensé, ni ne penseront jamais. On n'est point toujours une bête pour l'avoir été quelquefois; et Votre Hautesse...»

J'avoue que son procédé me dérouta. Ma gouvernante tiroit les épaules et n'en pouvoit revenir. Je ne connoissois plus ce cher frère, qui m'avoit coûté tant de larmes et pour lequel je m'étois sacrifiée.

Ayez un peu compassion de moi, miss Vernon, lui dis-je; car j'avoue que je regardais la leçon comme bien méritée, surtout en considérant de quelle part elle me venait. Pardonnez-moi si, pour excuser une extravagance dont je ne suis pas habituellement coupable, j'ose vous citer la coutume de la maison et du pays.

J'avoue que je me sens un assez grand fond de bienveillance envers ce prince pour être tentée de l'excuser. Il était bien jeune: nourri dans la haine des autrichiens qu'il avait raison de détester, il savait ce sentiment partagé par le Roi.

J'entrais donc dans le poëme de l'amour heureux sous les plus funèbres auspices. J'avoue que je m'inquiétais médiocrement de M. de Valvèdre. Il suivait sa destinée, qui était de préférer la science