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Mis à jour: 5 mai 2025


Sous le rapport de la fortune, les premiers temps de mon séjour en Russie ne furent point heureux pour moi. On peut en prendre une idée par la copie d'une lettre que j'écrivais

J'écrivais également

Vous avez les doigts tachés d'encre. C'est vrai, répondit Morrel, j'écrivais; cela m'arrive quelquefois, tout militaire que je suisMonte-Cristo fit quelques pas dans l'appartement. Force fut

J'écrivais assez proprement et je comptais assez vite pour oser demander un emploi qui, pour être rempli convenablement, n'exigerait que la connaissance de la calligraphie et de l'arithmétique. Le tout maintenant était donc d'obtenir un emploi de ce genre.

Line le regardait avec tendresse. Il poursuivit: Vous ne me croyez pas? Oh! si! Tenez... J'écrivais des vers sur vous... Des vers? Vous faites des vers? Oh! j'aime tant les vers! Et vous en avez fait sur moi? c'est vrai? Voulez-vous les lire? Si je veux les lire?... mais oui! Les voici.

Au moment même le prince de Metternich nous adressait ces propositions, et avant de les avoir reçues, j'écrivais au comte de Flahault pour lui faire connaître avec précision nos propres vues, en le chargeant de les communiquer

Dans le silence de la nuit, j'écrivais, j'écrivais depuis longtemps. Renvoyant sur ma table la lumière de la lampe, l'abat-jour laissait dans l'ombre les livres qui montent en étages sur les quatre faces du cabinet de travail. Le feu mourant semait dans les cendres ses derniers rubis. Les acres vapeurs du tabac épaississaient l'air; devant moi, dans une coupe, sur un monceau de cendres, une dernière cigarette élevait tout droit sa mince fumée bleue. Et les ténèbres de cette chambre étaient mystérieuses, parce qu'on y sentait confusément l'âme de tous les livres endormis. Ma plume sommeillait entre mes doigts et je songeais

Je n'ai pas vu la fête de la Fédération. Voici ce que j'écrivais,

Croyez-vous donc que j'eusse voulu être entendu de n'importe qui? J'écrivais pour mettre de l'ordre en moi-même et pour me délivrer, car on ne pense, ce qui s'appelle penser, que la plume

Pour revenir, ce séjour de Nantes eût été d'un charme infini pour un esprit moins absorbé. Ce beau lieu, cette grande liberté de travail, cette solitude si douce dans une telle société, c'était une harmonie rare, comme on ne la rencontre presque jamais dans la vie. Cette douceur contrastait fortement avec les pensées du présent, avec le sombre passé qui alors occupait ma plume. J'écrivais 93.

Mot du Jour

chalut

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