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Mis à jour: 19 juillet 2025
Eh bien, j'ai que la pensée d'être ici ton complice me fait horreur. Veux-tu que je te dise pourquoi tu viens mendier pour ce pauvre baron Issachar? C'est que ce juif te tient
Monseigneur, interrompit doucement Issachar, je supplie Votre Altesse royale de ne pas s'inquiéter pour si peu. Un de mes hommes d'affaires s'entendra avec Elle pour les quatre mille louis de ce soir, et aussi pour ces deux notes, l'une de cinq mille francs et l'autre de trois mille, que j'ai eu le plaisir de payer
Je ne veux pas rester ici. Viens, je te dis. Je suis sur qu'il va arriver un malheur. Manasse, Issachar, Ozias, eteignez les flambeaux. Je ne veux pas regarder les choses. Je ne veux pas que les choses me regardent. Eteignez les flambeaux. Cachez la lune! Cachez les etoiles! Cachons-nous dans notre palais, Herodias. Je commence a avoir peur. Les etoiles disparaissent.
Ah! l'épouse incestueuse qui parle! Viens! Je ne veux pas rester ici. Viens, je te dis. Je suis sûr qu'il va arriver un malheur. Manassé, Issachar, Ozias, éteignez les flambeaux. Je ne veux pas regarder les choses. Je ne veux pas que les choses me regardent.
L'un n'empêche pas l'autre, dit Issachar. Otto mordillait sa moustache. Des phrases méprisantes et vengeresses lui venaient aux lèvres: «Vous voulez la guerre, monsieur Issachar? Soit! Vous réclamez votre argent, qui pourtant ne vous coûte guère et qui est de l'argent volé? Vous me traitez en débiteur? J'ai donc le droit de vous traiter en usurier, en misérable juif que vous êtes. Vous rétablissez vous-même les distances, que j'avais eu la bonté d'oublier. A votre aise! Puisqu'il n'y a plus de ghetto et que nos lois imbéciles vous considèrent comme une façon d'homme, on vous le rendra, votre argent, mais accompagné de l'entier mépris qui est dû
Agitée, éperdue, tantôt hors de moi-même, et tantôt prête de mourir de faiblesse, j'avais la tête remplie du massacre de mon père, de ma mère, de mon frère, de l'insolence de mon vilain soldat bulgare, du coup de couteau qu'il me donna, de ma servitude, de mon métier de cuisinière, de mon capitaine bulgare, de mon vilain don Issachar, de mon abominable inquisiteur, de la pendaison du docteur Pangloss, de ce grand miserere en faux-bourdon pendant lequel on vous fessait, et surtout du baiser que je vous avais donné derrière un paravent, le jour que je vous avais vu pour la dernière fois. Je louai Dieu, qui vous ramenait
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