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Mis à jour: 28 mai 2025
Dimanche 2 novembre. Cette lumière implacablement blanche de la lune, dans ces premières nuits de novembre, dans cette nuit du jour des Morts, est vraiment spectrale. Il me semble y voir des reflets de linceul. Lundi 3 novembre. Dans les lettres on a un certain nombre d'amis, qui cessent tout
Cependant, la Justice militaire (qui relève de la Direction de la Cavalerie) ne reste pas inactive. Le Conseil de guerre, au chef-lieu, juge Fermaille. Le malheureux avoue, bégaye presque. Je dépose froidement, implacablement; quelque chose encore me crispe, me force
À table, les yeux ronds de la cousine Lydie, implacablement braqués sur lui, semblaient lui reprocher l'appétit de ses douze ans. Vrai, elle faisait choir le verre de ses doigts et les morceaux de sa fourchette. Ces accidents ne valaient pas toujours
Nous n'aurons pas les mêmes regrets en face de la mort, continua Pardaillan de sa voix implacablement calme. Le seul regret que j'éprouverai sera de ne pouvoir, avant de m'en aller, dire deux mots
Sous le ciel implacablement bleu, se profilant sur la mer, une procession de petits nègres qui marchent tout nus,
Voyez une mémorable victime du destin: Louis XVI. Jamais, semble-t-il, la fatalité ne voulut plus implacablement le malheur d'un pauvre homme, honnête, bon, doux, vertueux. Mais si on regarde l'histoire de plus près, de quoi est fait tout le venin de cette fatalité sinon des faiblesses, des hésitations, des petites duplicités, des inconséquences, de la vanité et de l'aveuglement de la victime? S'il est vrai qu'une sorte de prédestination domine toutes les circonstances d'une vie, cette prédestination ne saurait se trouver que dans notre caractère; et le caractère, n'est-ce pas ce qui devrait se modifier le plus facilement dans un homme de bonne volonté? N'est-ce pas, en fait, ce qui se modifie toujours dans la plupart des existences? Avez-vous,
Les femmes les sentaient mouiller leurs poitrines et leurs cheveux hâtivement noués. Les hommes regardaient le ciel avec intérêt. Des petits enfants riaient aux éclats en traînant leurs pieds nus dans la boue superficielle. Puis le nuage s'évanouit parmi la lumière; le ciel resta implacablement pur, et peu de temps après midi la boue était redevenue poussière sous le soleil.
Nous avons tous connu ces tragiques débats. Que de fois nous nous sommes trouvés dans l'alternative de ne pas voir, ou de haïr! Et que de fois un artiste, un artiste digne de ce nom, un écrivain qui connaît le pouvoir splendide et redoutable de la parole écrite, se sent-il oppressé d'angoisse au moment d'écrire telle ou telle vérité ! Cette vérité saine et virile, nécessaire au milieu des mensonges modernes, des mensonges de la civilisation, cette vérité vitale, semble-t-il, comme l'air qu'on respire... Et puis l'on s'aperçoit que cet air, tant de poumons ne peuvent le supporter, tant d'êtres affaiblis par la civilisation, ou faibles simplement par la bonté de leur cœur! Faut-il donc n'en tenir aucun compte et leur jeter implacablement cette vérité qui tue? N'y a-t-il pas, au-dessus, une vérité qui, comme dit Tolstoï, «est ouverte
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