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Mis à jour: 28 mai 2025
« Comment, dit-il, est-ce que vous voulez vous arrêter ici, maître? « Certainement, répondis-je. « Ah! mais vous ne voyez donc pas que nous y sommes beaucoup plus en danger qu'au milieu des Igorrotès?... » « Pourquoi donc sommes-nous en danger? demandai-je... « Pourquoi? pourquoi?
Cette route me semblait d'autant préférable que j'allais parcourir un pays habité par quelques Igorrotès, cette autre espèce de sauvages que je ne connaissais pas.
Nous marchâmes longtemps; vers le milieu du jour, nous arrivâmes dans une petite plaine habitée par les Igorrotès. Il y avait en tout trois cabanes. La population n'était pas nombreuse. Sur le seuil d'une de ces cabanes, je vis un homme d'une soixantaine d'années et quelques femmes.
On ne connaîtra sûrement jamais d'une manière exacte l'origine des Tinguianès et des Igorrotès, pas plus que celle des Guinanès, des Buriks, Busaos, Ibréis, Apayoos, Gadanos, Caluas, Ifugos et Ibilaos. Toutes ces populations, si différentes entre elles, habitent la terre des infidèles. On ne peut que supposer qu'ils descendent des Chinois, des Japonais, des Malais et des naturels de la Polynésie.
Les Igorrotès et les Tinguianès connaissent, sans aucun doute, sur leur territoire, des mines vraisemblablement très-riches de ce métal; car ils fabriquent pour leurs usages des ustensiles grossiers qui paraissent avoir été faits avec un seul bloc de cuivre, tiré de la mine
Les Igorrotès. Après cette collation, quelques branches d'arbres abattues et réunies sur le sol très-humide au fond de grands bois furent notre lit, et nous y dormîmes jusqu'au lendemain sans crainte, et surtout sans faire de sombres rêves. A l'aube naissante, nous reprîmes notre route. La nature s'éveillait comme nous; elle était belle et calme.
Je me proposais d'utiliser mon temps et de faire un voyage au nord, dans la province d'Ilocos et de Pangasinan. J'avais mon projet; je voulais, s'il était possible, faire une excursion chez les Tinguianès et les Igorrotès, populations sauvages desquelles on parlait beaucoup, sans les connaître, et que je désirais étudier par moi-même.
En 1838, le gouvernement espagnol voulut tenter de les soumettre, et fit pénétrer chez eux une petite armée. Cette expédition fut obligée de se retirer sans avoir rempli le but qu'on s'était proposé . On ne connaîtra leurs moeurs que lorsqu'on aura pu les aller étudier chez eux-mêmes. Les Tinguianès et les Igorrotès sont ceux chez lesquels j'ai le plus voyagé.
Les Igorrotès sont de petite stature; ils ont les cheveux longs, les yeux
Je remarquai que la toilette des Igorrotès était
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