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Mis à jour: 14 octobre 2025
CHAPITRE VI. François Ier
Madame, comme on le sait, femme de Philippe Ier, frère du roi, était venue en France après la mort si étrange et si inattendue de madame Henriette d'Angleterre, pour prendre la place de cette belle et gracieuse princesse, qui n'avait fait que passer, comme une blanche et pâle apparition. La comparaison, difficile
Ce n'est pas une phrase très élégante, j'en conviens; mais je serais plus content de l'avoir faite que d'avoir écrit les quatre cents pages du Cavalier Miserey. Car je suis sûr qu'elle vaut infiniment mieux pour mon pays. Tome Ier, 1851-1861.
Peu après s'ensuivit la prise de François Ier, roi de France; l'Allemagne fut troublée d'horribles séditions, Louys, roi de Hongrie, fut tué en bataille contre les Turcs. Il y eut par toute l'Europe de merveilleux remuements. Rome fut prinse et pillée par l'armée impériale.
On me fit cette concession, mais bien en rechignant, je vous jure. Messieurs, dis-je, il n'est point que vous n'ayez entendu parler d'un grand légiste nommé Cambacérès, qui avait l'honneur d'être archichancelier sous Napoléon Ier.
Il avait enfreint la loi du 19 ventôse an XI, article Ier, qui défend
L'empereur Nasica Ier n'eut pas plutôt ses deux cents pirogues
Note C36: (p. 116). «Point de monarque, point de noblesse; Point de noblesse, point de monarque.» A propos de cette maxime de la monarchie, Voltaire, dans son Commentaire, fait la remarque suivante: «Cette maxime fait souvenir de l'infortuné Charles Ier qui disait: point d'évêques, point de monarque. Notre grand Henri IV aurait pu dire
Félicitons la Serbie d'avoir un souverain comme Alexandre Ier, qui a placé, au-dessus de tout, les intérêts de son pays et qui gouverne avec la seule pensée de faire oeuvre utile pour ses sujets et de prendre en considération leurs voeux les plus chers. S. E. le Dr Michel VOUITCH Ministre des Affaires Etrangères Président du Conseil des Ministres de S. M. le Roi
Ceci se passait en 1620. À partir de cette époque, l'émigration ne s'arrêta plus. Les passions religieuses et politiques, qui déchirèrent l'empire britannique pendant tout le règne de Charles Ier, poussèrent chaque année, sur les côtes de l'Amérique, de nouveaux essaims de sectaires. En Angleterre, le foyer du puritanisme continuait
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