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Mis à jour: 17 juin 2025
Ah! madame, dit le jeune huguenot avec un accent de reproche plus triste qu
Voici la navrante description de ce supplice de la bastonnade faite par le galérien huguenot Marteilhe: «On fait dépouiller tout nu, de la ceinture en haut, le malheureux qui doit recevoir la bastonnade. On lui fait mettre le ventre sur le coursier (galerie étroite et élevée placée au milieu de la galère), les jambes pendantes dans son banc et ses deux bras dans le banc
Et puis? Mon grand-père était huguenot. Monsieur le curé l'a fait envoyer aux galères. J'étais toute petite. Et puis? Le père de mon mari était un faux-saulnier. Le roi l'a fait pendre. Et ton mari, qu'est-ce qu'il fait? Ces jours-ci, il se battait. Pour qui? Pour le roi. Et puis? Dame, pour son seigneur. Et puis? Dame, pour monsieur le curé. Sacré mille noms de noms de brutes! cria un grenadier.
Quand un huguenot, pour gagner la frontière, se décidait
Comment? fit Marie Touchet inquiète. Oui, madame, je croyais que l'homme une fois mort, on ne le revoit plus, que le secret une fois enseveli ne ressuscite jamais. Eh bien, je me trompais: le visage pâle et morne du gentilhomme huguenot reparaît incessamment
Le baron de Panat étoit un gentilhomme huguenot d'auprès de Montpellier, de qui on disoit: Lou baron de Panat puteau mort que nat, c'est-
Avant même, que le délai accordé aux officiers de marine ne soit expiré, Dobré de Bobigny, un enseigne de vaisseau, huguenot obstiné est enfermé le 21 décembre au château de Brest, et l'intendant écrit «Je lui ai fait entendre qu'il ne devait pas s'attendre de sortir de prison qu'il n'eût fait son abjuration.» Il n'en sortit, en effet, qu'en 1693, et ce fut pour se voir expulsé du royaume comme opiniâtre.
Bravo, Crucé! Bravo, Crucé! Taïaut! Pille La Force!... C'était en effet la maison du vieux huguenot La Force. L
Ainsi, le huguenot Michel Chabris, blessé par un boulet devant Tanger, est remis
Je n’ai pas aussi bien réussi les garçons. La mère y a mis du sien, et la pâte a tourné: sur quatre, deux sont bigots, comme elle, et, par surcroît, de deux bigoteries ennemies. L’un est toujours fourré parmi les jupons noirs, les curés, les cafards; et l’autre est huguenot. Je me demande comment j’ai couvé ces canards. Le troisième est soldat, fait la guerre, vagabonde, je ne sais pas trop où. Et quant au quatrième, il n’est rien, rien du tout: un petit boutiquier, effacé, moutonnier; je bâille, rien que d’y penser. Je ne retrouve ma race que la fourchette au poing, quand nous sommes assis, les six, autour de ma table. À table, nul ne dort, chacun y est bien d’accord; et c’est un beau spectacle de nous voir, tous six, manœuvrer des mâchoires, abattre pain
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