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Mis à jour: 22 mai 2025
Ils brandissaient les casse-tête, se frappaient avec des cris de défi; et, pendant ce temps, les autres guerriers chantaient, en marquant le temps avec des tambours, et en poussant du fond du gosier des cris d'applaudissement, tels que: Hou! Hou! Hou! Hou! ou encore: Ché! Ché! Ché!
Aux hou! hou! stridents a succédé le concert mélodieux des rossignols, des fauvettes et des merles; et les fantômes de la nuit n'ont laissé sur nos lèvres que le sourire de la pitié ironique. Les mulets sont sanglés, les bagages chargés: tout est prêt pour le départ. Le Général est assis sur son bât comme une majesté sur le trône.
Ce fut cette même année, en 1805, que le neveu du chef de Rangui- Hou, l
E vogo la barcado... Hòu! pichoto! Aramoun, noste endré! vène lèu vèire! A crida lou gros Tòni, ve la cauno Ounte demouravian (oh! quand ié sounge!), Pèr lou glavas
Va-t'en donc avec ta bonne mère! Elle en a vu de grises, la tienne, en Palestine! Et la tienne, hou! la laide! Qui sait ce qu'elle n'a pas fait... Demande plutôt
Dans le pays d'Auribat (Landes), les enfants de la campagne se forment en groupes joyeux, la veille de Noël. Ils vont solliciter des offrandes devant toutes les maisons où il y a eu un baptême dans l'année. Ils chantent alors un refrain connu vulgairement sous le nom de lou Piguehoü: Pigue hoü, hoü, hoü Pigue talhe, talhe, talhe Dat loumouyne
Quand elle eut poussé son dernier hou rauque, quand l'hémorragie interne eut achevé de l'étouffer, je pris dans un tiroir de son armoire ses pièces d'or et quelques valeurs, et, refermant la porte sur moi, je m'en allai.... Toute cette scène n'avait pas duré dix minutes, et pas de bruit, pas de sang répandu.
Un triple bâillement me coupe la parole. Nous tirons sur nous la porte massive, que ferme un loquet ingénieusement façonné. Nous nous partageons les matelas: chacun a le sien, où il se jette tout habillé et enveloppé dans sa couverture. Nous nous endormons bercés par les hou! hou! qui ne nous effrayent plus.
Soit! répondit le capitaine Hou. Nous serons l
Comparons ces pratiques avec celles des Quadrya: «S'étant assis, les jambes croisées, ils touchent l'extrémité du pied droit, puis l'artère principale nommée el-Kias qui contourne les entrailles; ils placent la main ouverte, les doigts écartés, sur le genou, portent la face vers l'épaule droite en disant ha, puis vers l'épaule gauche en disant hou, puis la baissent en disant hi, puis recommencent. Il importe, et cela est indispensable, que celui qui les prononce s'arrête sur le premier de ces noms aussi longtemps que son haleine le lui permet; puis, quand il s'est purifié, il appuie de la même manière sur le nom de Dieu, tant que son âme peut être sujette au reproche; ensuite il articule le nom hou quand la personne est disposée
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