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Mis à jour: 24 juin 2025


La pluie au bassin fait des bulles, Les hirondelles sur le toit Tiennent des conciliabules: Voici l'hiver, voici le froid! Elles s'assemblent par centaines, Se concertant pour le départ. L'une dit: «Oh! que dans Athènes Il fait bon sur le vieux rempart! «Tous les ans j'y vais et je niche Aux métopes du Parthénon. Mon nid bouche dans la corniche Le trou d'un boulet de canon

Il y avait une foule de voisins aux portes qui racontaient ou qui écoutaient ce départ dont l'imagination était frappée comme d'un sinistre présage. Une vieille qu'on croyait comme l'Evangile disait: Cela annonce une révolution. L'enfant qui déserte la maison de son père, c'est les hirondelles qui s'envolent d'un toit. Ne me parlez jamais de choses pareilles; elles portent malheur!

Meurs! car les vieux remords sont exacts et fidèles Ainsi que la marée et que les hirondelles, Et tout baiser mauvais vibre une éternité! Olivier quitte Suzanne et se sauve

Le calme, je crois qu'il n'avait jamais été si absolu que ce matin, sur ma petite ville de province toute blanche au soleil d'août. Par mes fenêtres, ouvertes sur les cours enguirlandées de verdure, aucun bruit ne m'arrive, que le chant des hirondelles, qui délirent de joie parce qu'il fait radieusement beau. Et cependant, ici comme partout ailleurs, d'un bout

Qu'il regrettera alors ses rives solitaires, ses paysans ignorants, son coin perdu, si loin des hommes, connu seulement des hirondelles qui y revenaient

Ensuite, il plaisanta. L'amour, comme les hirondelles, portait bonheur aux maisons. Sans doute, il les connaissait, les filles qui battaient les comptoirs, les dames qui, par hasard, y rencontraient un ami; mais si elles n'achetaient pas, elles faisaient nombre, elles chauffaient les magasins. Tout en causant, il emmena son ancien condisciple, il le planta au seuil du salon, en face de la grande galerie centrale, dont les halls successifs se déroulaient

Avril Lorsqu'un homme n'a pas d'amour, Rien du printemps ne l'intéresse; Il voit même sans allégresse, Hirondelles, votre retour; Et, devant vos troupes légères Qui traversent le ciel du soir, Il songe que d'aucun espoir Vous n'êtes pour lui messagères. Chez moi ce spleen a trop duré, Et quand je voyais dans les nues Les hirondelles revenues, Chaque printemps, j'ai bien pleuré. Mais, depuis que toute ma vie A subi ton charme subtil, Mignonne, aux promesses d'Avril Je m'abandonne et me confie. Depuis qu'un regard bien-aimé A fait refleurir tout mon être, Je vous attends

Les hirondelles sont comme les roses: on les a trop chantées. Théophile Gautier avait bien rajeuni le thème au moyen d'un ingénieux exotisme. Vous vous rappelez ses vers: L'une dit: «j'habite un triglyphe, Au fronton d'un temple,

Il frissonna de nouveau et reprit le volume s'efforçant d'oublier. Il lut ces vers délicieux sur les hirondelles du petit café de Smyrne entrant et sortant, tandis que les Hadjis assis tout autour comptent les grains d'ambre de leurs chapelets et que les marchands enturbannés fument leurs longues pipes

Que fais-tu? donne-moi de tes nouvelles. Moi, je végète. Couchée sur une terrasse, dans un site délicieux, je regarde les hirondelles voler, le soleil se lever, se coucher, se barbouiller le nez de nuages, les hannetons donner de la tête contre les branches, et je ne pense

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