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Cela est possible. Nous habitons la même cellule, et j'ai passé des nuits entières

Tenez, monsieur, c'est horrible. Nous habitons, vous et moi, l'infiniment petit. Je ne suis qu'un proscrit et vous n'êtes qu'un ministre. Je suis de la cendre, vous êtes de la poussière. D'atome

Mais, vous savez, nous habitons la campagne, c'est moi qui lui ai vendu sa villa; nos jardins sont contigus,

Nous voici loin de la doctrine du jugement dernier et du drame fantastique de la vallée de Josaphat. Ce n'est pas que ces fictions me déplaisent; elles semblent indiquer un dogme de renouvellement, et elles sont en complet désaccord avec les décisions catholiques qui placent le jugement de l'âme au moment qui suit la mort de chacun de nous. Si nous devons attendre pour reprendre notre dépouille mortelle et pour marcher dans l'avenir terrible ou riant, suivant nos mérites, la fin du monde que nous habitons, c'est un sursis d'exécution qui a sa valeur. C'est aussi une concession temporaire

Bien! bien! je vois que nous habitons toujours le pays des mystères... J'étais donc bien embarrassée, lorsque j'entends gratter

Il en fut convaincu en entendant Ossipoff prononcer, d'un ton un peu amer, les paroles suivantes: Vous plaisantez, n'est-ce pas... vous savez bien que toutes les indications de la boussole ne se rapportent aucunement au milieu que nous habitons et que, si loin de toute attraction, la boussole ne nous est plus d'aucune utilité.

FRITZ. Quelles sont les espèces de serpents venimeux dans les contrées que nous habitons? MOI. L'énumération de ces espèces entraînerait

«Ainsi, une seule parole de Kêkéyî nous a bannis tous les trois du royaume, et nous errons pleins de constance, ô le plus vertueux des brahmes, dans la forêt profonde. Nous habitons ces bois tout remplis de bêtes féroces: rassure-toi cependant; il t'est possible d'habiter ici.

Et tout en monologuant ainsi, il examinait sa nouvelle demeure et se sentait agité par cette secrète inquiétude qu'on éprouve presque toujours en entrant dans un nouveau logement. Je l'ai remarqué, pensait-il, les lieux que nous habitons exercent une influence mystérieuse sur nos pensées, et par conséquent sur nos actions. Cette chambre est froide et silencieuse comme un tombeau.

Socrate, deux siècles après, jugeait encore l'entreprise bien audacieuse: «Je suis convaincu, disait-il, que la Terre est immense et que nous, qui habitons depuis le Phase jusqu'aux Colonnes d'Hercule, nous n'en occupons qu'une très petite partie, comme les fourmis autour d'un puits ou les grenouilles autour de la mer