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Mis à jour: 25 juin 2025
J'avais neuf ans. C'était en 1864, au mois de juin, par une brûlante et claire fin d'après-midi. Comme d'ordinaire, je travaillais dans ma chambre, au retour du lycée Bonaparte, toutes persiennes closes. Nous habitions rue Tronchet, auprès de la Madeleine, dans la septième maison
Nous habitions les bâtiments du Cour Supérieur de Sainte-Agathe. Mon père, que j'appelais M. Seurel, comme les autres élèves, y dirigeait
Te rappelles-tu l'enfant que tu arrachas un jour de mes bras? Rageur, je te frappai d'un couteau, et, cependant, tu n'avais pas lu dans mon arrière-pensée! Un autre jour, quand nous habitions encore
La cousine de mon grand-père, ma grand'tante, chez qui nous habitions, était la mère de cette tante Léonie qui, depuis la mort de son mari, mon oncle Octave, n'avait plus voulu quitter, d'abord Combray, puis
La Providence nous envoya un secours. Les grands bâtiments des fours publics étaient contigus aux murs du palais que nous habitions; les terrasses se touchaient. Celle des fours publics était immense; on y faisait le mélange et le broiement des grenailles de toute espèce qu'on ajoutait aux farines avariées pour faire le pain de la garnison.
Vous êtes contente de nous savoir pauvres; mais je vous assure que cela nous est bien égal, et cela vous ennuiera toujours un peu que nous habitions la Maison.
Lui et moi nous habitions la même maison
Nous fûmes témoins, le 8 août, d'une horrible aventure qui se passa dans la rue même que nous habitions. En face de notre hôtel logeait un prêtre qui faisait le commerce des cuirs. Il avait soulevé le peuple contre lui dans son quartier, en disant un jour «que les assignats feraient augmenter le prix des souliers, et que bientôt on les paierait 22 fr.» Depuis ce moment on l'accusait d'être accapareur. Il arriva une voiture de cuirs pour lui. Un homme de la garde nationale, une femme et quelques enfans arrêtèrent cette charrette, en criant: A la lanterne! Le prêtre descend pour les apaiser; il ne peut réussir. On veut
Ma grand'mère et moi nous habitions le rez-de-chaussée, où il ne faisait plus clair
Puisque nous sommes seuls, messieurs, reprit Frantz après quelques instants de silence, que la châtelaine est partie, et que vous êtes éveillés comme des gens qui attendent un revenant, je vous raconterai ce que je vois tous les huit jours; mais ayez la bonté de pousser la porte. Ces tas de plâtre qui sont après l'allée, et sur lesquels la lune donne, ont l'air de linceuls, et cela m'ennuie... me fait peur, si vous voulez. Je perdis jeune une sœur que j'aimais. Le cimetière était assez éloigné de la petite ville que nous habitions; j'y allais tous les soirs après souper. Deux mois, je l'ai vue, jour par jour, comme je vous vois, et les vers venir, et la chair s'en aller. Je la voyais comme elle était sous terre. Il n'y avait pour moi ni pierre ni sapin; je la voyais... un spectacle horrible et qui me tuait! et je revenais toujours... Depuis lors, je dormis mal. Les songes me vinrent. Mes insomnies se peuplèrent. Un dimanche, dans la nuit, mon père gardait le lit depuis deux jours, dans un rêve, je vis dans notre salon beaucoup de gens de ma famille en deuil; une de mes tantes s'approcha de moi, et me dit: «Ton père ne passera pas trois jours.» Mon père mourut le mardi. Cela me mit encore plus de songes dans la pensée. Mon père et ma sœur me revenaient souvent. Insensiblement, je nouai ma vie avec des imaginations bizarres; des fantasmagories m'assaillirent, et, si vous voulez me passer l'album, oublié l
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