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Mis à jour: 18 juillet 2025
Cette femme qui vient de parler t'adopte pour son fils que tu as tué; c'est la coutume. Va-t'en habiter avec elle et montre-toi aussi bon fils que le Castor-Pelé dont tu porteras désormais le nom. Seulement sache bien que si tu essayes de te sauver, rien alors ne saurait te soustraire au supplice du feu.
M. Geyer nous offrit d'aller habiter une ferme qu'il possédait
Eh bien! adieu, alors, cher et parfait ami. Au revoir plutôt, car enfin je ne sais pas pourquoi vous ne viendriez pas habiter avec moi
Karagueuz rentre pour un an dans sa boîte et n'a plus, sous aucun prétexte, le droit d'en sortir. Péra m'ennuie et je déménage; je vais habiter dans le vieux Stamboul, même au-del
C'est surtout au pays de Caux (Seine-Inférieure) qu'existe la légende des pierres tournantes. Ces pierres faisaient autrefois trois tours sur elles-mêmes pendant la Messe de minuit, et les monstres qui étaient censés y habiter exécutaient autour d'elles des danses folles qu'il eût été dangereux de troubler. Citons la chaise de Gargantua
Athos, en arrivant dans la chambre qu'il devait habiter, aperçut
Digeon y vint habiter avec moi: je fus d'autant plus heureux de l'avoir amené, qu'indépendamment d'un ami, je trouvai en lui un homme qui entendait parfaitement la comptabilité. Sans lui, je ne sais comment je me serais tiré de la mienne.
Vivons comme par le passé, monsieur, séparés l'un de l'autre, et ces lettres resteront ignorées. Je vous dis qu'il faut que vous veniez habiter avec moi; que maintenant il le faut plus que jamais... m'entendez-vous? J'emploierai tous les moyens possibles pour échapper
«Je ne puis vous dire par où j'ai passé dans ces derniers temps; je ne me reconnais plus moi-même. Oui, tu es bien changé en beaucoup de choses, dit le prince André. Et vous? quels sont vos projets? Mes projets? dit-il ironiquement, mes projets? répéta-t-il, comme si ce mot l'étonnait; tu le vois, je bâtis, et je compte habiter ici tout
Le cimetière, en effet, n'avait rien d'effrayant. C'était un terrain nu, où d'étroites allées se perdaient sous l'envahissement des herbes. Des renflements bossuaient la terre, de place en place. Une seule pierre, debout, toute neuve, la pierre de l'abbé Caffin, mettait sa découpure blanche, au milieu. Rien autre que des bras de croix arrachés, des buis séchés, de vieilles dalles fendues, mangées de mousse. On n'enterrait pas deux fois l'an. La mort ne semblait point habiter ce sol vague, où la Teuse venait, chaque soir, emplir son tablier d'herbe pour les lapins de Désirée. Un cyprès gigantesque, planté
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