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CHAPITRE IV. Frédéric II. Guelfes et gibelins. Guerres avec les voisins.

Cependant les Visconti avaient beaucoup d'ennemis; la croisade rassembla des forces sous les ordres du légat, qui ne négligea pas de solder des troupes allemandes. Les guelfes firent des progrès. Des gibelins, changeant de couleur, procurèrent successivement au pape, Plaisance, Tortone, Parme. Mathieu Visconti vint

Au hasard! Il fut de mon avis et ne dit pas: la plus sensée. Qui eut raison des Guelfes ou des Gibelins,

Presque toutes les universités avaient alors, comme celle de Bologne, des professeurs de grammaire et de rhétorique. Florence eut un grammairien dont la renommée effaça celle de tous les autres; c'est Brunetto Latini. Il était d'une famille noble, et dans ce temps la ville était déchirée par deux factions rivales, il était du parti des Guelfes. Ils eurent d'abord l'avantage, et chassèrent les Gibelins; mais ceux-ci implorèrent Mainfroy, roi de Sicile , qui leur envoya du secours. Les Guelfes voulurent lui opposer Alphonse, roi de Castille, auprès duquel ils députèrent Brunetto. En revenant de son ambassade, il apprit que les Gibelins, aidés par les soldats de Mainfroy, étaient rentrés dans Florence, et en avaient

Avec Charles d'Anjou, le pape, et par conséquent les Guelfes, triomphaient par toute l'Italie; c'était

Le poëte fait allusion aux édits et aux anathêmes que Florence lançait tous les jours contre le parti Gibelin et la maison des Uberti; car dans ce moment les Guelfes avaient le dessus, et se rappelaient tous les maux que leur avait faits la faction Gibeline. Ceci est fort ingénieux, et prouve que, dans le siècle de l'auteur, on s'occupait beaucoup de l'état des damnés.

La force était donc restée aux guelfes dans Gênes . Un nouveau podestat fut demandé

Le gouverneur et le conseil administraient les affaires. Le gouverneur présidait et jouissait de deux suffrages; mais, s'il n'assistait pas au conseil, les résolutions prises en son absence n'en étaient pas moins valables. Les conseillers étaient au nombre de douze au moins, pris en nombre égal parmi les nobles et les populaires, parmi les gibelins et les guelfes.

Ici, n'espérez pas oublier les maux passés ou présents de l'état social. Cette plaine est parsemée de détails criards, d'une multitude de petites ruines antiques plus ou moins illustres; de tours guelfes ou gibelines, très-grandes de près, mais microscopiques sur cette vaste arène; de cahutes de paille, assez vastes pour abriter, la nuit, les troupeaux errants pendant le jour, mais si petites

Après une longue suite de fortunes diverses, favorable un jour au parti guelfe, un jour au parti gibelin, la cité, vers cette époque, restait aux guelfes. Ils y avaient établi le gouvernement populaire. La commune, organisée en corporations armées, souveraine en ses délibérations, mais ombrageuse