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Mis à jour: 2 juillet 2025
Chez les chrétiens, le pieux, brave et prudent Godefroy, le brillant et impétueux Renaud, l'intrépide et généreux Tancrède attirèrent d'abord les yeux; Guelfe, Raimond de Toulouse, Baudouin et Eustache, frères du général, Odoard et Gildippe, ces deux tendres époux, assez unis pour ne se jamais quitter, même dans les combats, assez heureux pour y mourir ensemble; Roger, Othon, les deux princes Robert et plusieurs autres brillent au second rang, et paraissent, tantôt séparés, tantôt réunis, sans se nuire ni se confondre.
La nouvelle d'un triste désastre vint troubler la joie du succès. La guerre civile dans la métropole mettait aux mains les Génois des deux factions dans toutes leurs colonies, et partout où ils habitaient, le parti le plus faible était chassé par le plus fort et cherchait partout des appuis1. Le gouvernement guelfe avait armé une flotte contre les colonies de Galata et de la Crimée restées gibelines et même contre l'empereur grec qui les protégeait. Dix galères étaient parties, on n'en vit revenir que trois, fugitives et ayant perdu leurs chefs. On avait couru les côtes de la Romanie, pris et brûlé des navires; on avait pénétré dans le Pont-Euxin et menacé les établissements de cette mer. Mais ceux de Péra, aidés par les Grecs, avaient armé pour la défense des comptoirs et pour réprimer les insultes des adversaires. Sur cette nouvelle les capitaines guelfes avaient recherché asile et assistance chez le Tartare Zalabi, seigneur de Sinople2, voisin jaloux des colonies génoises. Ce prince reçut favorablement leurs ouvertures et leur visite. Il fut prompt
Telle fut, en deux mots, l'histoire du vrai parti italien, du parti guelfe. Quant au parti gibelin ou allemand, il périt ou changea de forme dès qu'il ne fut plus allemand et féodal.
Ugolin, comte de la Gherardesca, était un noble Pisan, de la faction Guelfe: il s'accorda avec Roger, archevêque de Pise, lequel était Gibelin, pour ôter
Au treizième siècle, la république de Florence était entièrement Guelfe, et s'il y avait quelques Gibelins parmi ses habitants, ils se tenaient cachés: mais ils dominaient ailleurs, et on se battait fréquemment. Dante, dont les aïeux avaient été Guelfes, se trouva
Celle ci, néanmoins, était fort menacée: gouvernée, dans l'origine, par des familles gibelines, Florence l'avait été ensuite par une aristocratie guelfe et populaire qui se divisa en deux factions. Celle des Blancs l'emporta. C'est ainsi que le Dante, qui appartenait
Dès sa jeunesse, il se fit inscrire, ou, selon l'expression consacrée, immatriculer sur le registre de l'un des arts ou métiers entre lesquels les lois de Florence exigeaient que se partageassent tous les citoyens qui voulaient pouvoir être admis aux emplois publics . Il prit les armes dans une expédition que firent les Guelfes de Florence contre les Gibelins d'Arezzo, et se distingua aux premiers rangs de la cavalerie dans la bataille de Campaldino , où, après une résistance opiniâtre, les Arétins furent vaincus. Il servit encore contre les Pisans, l'année suivante, année fatale pour lui par la perte qu'il fit de Béatrix. Il chercha, un an après, sa consolation dans un mariage qui ne lui procura que des chagrins. Quelques historiens de sa vie assurent que sa femme, qu'il avait prise dans l'une des plus puissantes familles du parti guelfe , fut
Guido Guerra commandait 400 chevaliers florentins, tous de faction guelfe,
Bientôt fut publié un ordre sévère pour le désarmement de tous les citoyens de la ville et des vallées. Après ces premières mesures Boucicault fit proclamer une pleine amnistie d'où ne furent exclus que six gibelins et un guelfe. Avec l'abolition des délits commis, le gouverneur fit marcher une justice sans rémission pour les manquements nouveaux. Il ne confia point l'autorité répressive
On voit par tout ceci qu'outre les villes occupées par les papes et les empereurs, et celles qui s'étaient formées en républiques, il y en avait beaucoup d'usurpées par des tyrans particuliers. C'étaient les armes de Pagan, maître de Faenza et d'Imola. Il passait du parti Gibelin au parti Guelfe, selon ses intérêts.
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