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Mis à jour: 24 juin 2025
Au pied même de l'arbre de Gualichu, quelques heures après les événements déj
Les Indiens n'avaient pas besoin de cette recommandation de leur sorcier: une terreur superstitieuse leur donnait des ailes; ils se précipitèrent en tumulte du côté de leurs chevaux, et bientôt le désert retentit de leur course folle. Les alentours de l'arbre de Gualichu furent abandonnés. Seule, la jeune fille la poitrine encore découverte, gisait évanouie sur le sol.
A l'arbre de Gualichu, répondit l'autre, qui ajouta tout bas: chercher la vengeance. Les deux cavaliers s'enfoncèrent dans l'obscurité et le galop furieux de leurs chevaux fut vite perdu dans les profondeurs du silence.
Mais les chefs se sont de nouveau rassemblés autour du feu du conseil; frère, venez. Neham-Outah et Pincheira approchèrent de l'arbre de Gualichu où les Indiens s'étaient groupés, immobiles, silencieux et calmes, comme si rien n'eut troublé leur réunion.
J'abjure devant Gualichu répondit Neham-Outah, la haine que ma nation et moi avions jurée
Le cercle s'était agrandi autour des deux femmes; mais les superstitieux Indiens, cloués dans une immobilité pleine de terreur, les regardaient fixement. Le pouvoir de Gualichu, ajouta Maria pour compléter son triomphe, est immense et terrible. C'est lui qui m'envoie. Malheur
Pendant que le toqui était plongé dans ses réflexions, une main se posa lourdement sur son épaule. C'était le matchi qui le regardait avec ses yeux de chat-tigre. Que veux-tu? lui demanda-t-il sèchement. Mon père est-il content de moi? Gualichu a-t-il bien parlé? Oui, fit le chef en retenant un geste de dégoût; retire-toi. Mon père est grand et généreux.
Gualichu qui aime les Indiens, dit-elle, m'a envoyée vers le matchi des Aucas. Ah! répondit le sorcier d'un accent railleur; et que me veut-il? Nul autre que toi ne doit l'entendre. Le matchi vint auprès de la jeune fille, lui posa la main sur l'épaule et la regarda d'un air de convoitise. Veux-tu me sauver? lui demanda-t-elle
Ce sont sans doute des femmes de gauchos. Non, répondit le sorcier leurs mains sont trop pâles, et leurs pieds trop petits. D'ailleurs, l'une d'elles est L'esclave blanche de l'arbre de Gualichu. Ah! Et qui les a faites prisonnières? Personne: elles sont venue seules. Seules? Je les ai accompagnées dans le camp et protégées contre la curiosité des guerriers. Tu as bien agi.
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