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Mis à jour: 14 juin 2025


»Remerciez, je vous prie, Gifford de toutes ses bontés. L'hiver est ici aussi froid que les latitudes polaires de Parry . Il faut que j'aille galoper dans la forêt; mes chevaux attendent. Votre sincère, etc.» [Note 117: On sait qu'Annibal mit fin

»Je suis très-peiné que Gifford n'approuve pas mes nouveaux drames. Certes, ils sont aussi contraires que possible au drame anglais; mais j'ai idée que s'ils sont compris, ils trouveront

»Vous voyez comme je suis devenu sage. 21 avril 1821. »Je vous envoie ci-joint une autre lettre sur Bowles, mais je vous avertis par avance qu'elle n'est pas comme la première, et que je ne sais pas ce qu'il en faut publier, si même il n'est pas mieux de n'en rien publier du tout. Vous pouvez sur ce point consulter M. Gifford, et réfléchir deux fois avant de faire la publication.

J'ai toujours considéré Gifford comme mon père littéraire, et moi comme son «enfant prodigue.» ....................................... ........................................... »Tout

»Vous avez raison, Gifford a raison, Hobhouse a raison, vous avez tous raison, et moi seul j'ai tort; mais du moins laissez-moi cette satisfaction, coupez-moi tout, branches et racines, mutilez-moi dans le Quarterly Review, dispersez au loin mes disjecti membra poetæ, comme ceux de la concubine du Lévite; faites de moi, si vous voulez, un spectacle pour les hommes et pour les anges; mais ne me demandez point de rien changer, car je ne le veux pas; je suis obstiné et paresseux, voil

»Si je me le rappelle bien, vous m'avez dit que M. Gifford avait eu la bonté,

»P. S. Rappelez-moi particulièrement au souvenir de M. Gifford et dites-lui de ma part tout ce que vous pensez que je puis lui dire. Je suis fâché que le portrait de Philippe n'ait pas plu

»Si M. Gifford veut avoir carte blanche pour le Siége de Corinthe, il l'a, et peut en faire ce qu'il lui plaît.

»Je suis vraiment bien aise que vous m'ayez envoyé l'opinion de M. Gifford, sans en rien rabattre; me croyez-vous assez imbécille pour ne pas lui en être très-obligé, et que, dans le fait, je ne sois pas, au fond de ma conscience, persuadé et convaincu que tout cet acte n'est qu'une absurdité?

et que, par conséquent, toutes attaques dirigées contre vous soient tournées contre moi, qui veux et dois les supporter toutes; que si vous avez perdu de l'argent par suite de la publication, je vous rembourserai tout ou partie du prix du manuscrit; que vous m'obligerez de déclarer que vous et M. Gifford m'avez tous deux adressé des remontrances contre la publication, ainsi que M. Hobhouse; que moi seul l'ai voulue, et que je suis le seul qui, légalement ou autrement, doive porter la peine. Si l'on poursuit, je reviendrai en Angleterre; c'est-

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