Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 14 mai 2025


Le théâtre de l'Oeuvre a représenté une pièce de M. Francis Jammes, la Brebis égarée. Le poète des Géorgiques chrétiennes abordait la scène pour la première fois. A la vérité, sa pièce n'a pas été écrite pour le théâtre; elle s'adresse davantage aux lecteurs qu'aux spectateurs. L'action y est

C'est cependant une strophe d'allure noble et grave. Le ton aussi a perdu toute ironie, et, si la peinture reste humble et réelle, elle est sérieuse. Elle a pour épigraphe deux vers des Georgiques de Virgile. Dans la lignée écossaise, cette pièce, bien qu'elle soit purement descriptive, relèverait plutôt du Noble Berger, par le mélange d'embellissement et de vérité. Mais l'embellissement ici ne porte que sur le côté moral. Elle est écrite en pur dialecte écossais. À cause de l'influence qu'il a eu sur Burns, il est utile de voir d'un peu plus près ce morceau. C'est le tableau d'une soirée, autour de la cheminée d'une petite ferme, et un tableau charmant de justesse et de naturel. Après avoir, dans la strophe citée plus haut, mis la tristesse du dehors comme un cadre sombre

Ainsi masquant de grâces fantastiques Le noble auteur des douces Géorgiques, Par trop d'esprit il n'eut qu'un faux succès... Oh! que Le Franc a bien fui cet excès! Dans une épigramme de date postérieure, Le Brun semble s'adoucir, et il convient que, nonobstant Marmontel, Saint-Lambert et Lemierre,

Ainsi, en place de l'orviétan et du bézoard, si fort en crédit de son temps, il indique comme contrepoison le citron; peut-être en exagère-t-il les vertus, par la confiance en Virgile, qui a dit au livre II des Géorgiques: «Contre les poisons des marâtres, il n'est rien de plus sûr que le citron

En regard du trophée poétique que lui dressaient ses amis, il parut une brochure intitulée Observations classiques et littéraires sur les Géorgiques françaises, par un Professeur de belles-lettres (an IX). Il y était dit: «Comment se flatter de ramener l'opinion sur un ouvrage qui, même avant la publicité, était dévoué

Delille s'est immortalisé en les traduisant; Thompson et Saint-Lambert ont succombé dans l'imitation. Cela n'a qu'un défaut: l'homme y manque; l'homme est le plus grand sujet d'intérêt de toute langue. Les Géorgiques ont des choses, mais ce n'est pas encore l'humanité.

«Les Géorgiques sont, dans leur genre, le plus parfait modèle de poésie didactique qui ait enchanté les agriculteurs de tous les âges, la limite précise la nature et la poésie se rencontrent pour s'embrasser. Nous n'avons rien, dans les oeuvres modernes, qui réunisse ce mérite savant et ce mérite naturel.

[Note 20: Virgile parle d'un Esprit &c. Georgiques liv. IV. «Quelques-uns faisant réflexion sur cette adresse & sur cette prudence qui paroissent par tant de marques dans les mouches

Quel dommage que Léon ne soit pas ici! s'écria madame de Saint-Elme en s'approchant, il nous déclamerait le magnifique épisode des Géorgiques. Combien ne serait-il pas agréable d'entendre un bel ouvrage dans ce beau lieu! J'ai, dans ma poche, un volume de la meilleure traduction du Paradis perdu, dit le général; voulez-vous que je vous en lise quelques passages? La proposition fut accueillie, un siége de verdure reçut les dames. M. de Lamerville s'assit

Regum æquabat opes animo, et le soir quand il rentrait au logis, il chargeait sa table de mets qu'il n'avait point achetés... » Virgile, Géorgiques, IV, 125-148.

Mot du Jour

haben

D'autres à la Recherche